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Liens utiles de l'IFR

-- Appel à candidatures de la Fondation pour les sciences sociales sur le thème : Le travail à distance. Clôture de l'appel : 15 juillet 2021 à minuit.
L'appel s'adresse aux enseignants-chercheurs et chercheurs de toutes les disciplines des sciences sociales ayant soutenu leur thèse de doctorat depuis 10 ans au plus.

-- Appel à candidatures pour la 1ère édition du Prix du Master2 2021 IHEMI (Institut des Hautes Etudes du Ministère de l'Intérieur) - Date limite : 31 août 2021.
Le Prix est ouvert à toutes les personnes ayant soutenu leur mémoire de master 2 en 2020 en lien avec l’actualité de la sécurité intérieure et de la justice en France.
Modalités de candidature

 

Fil info de La Mission de Recherche Droit & Justice

  • 7 décembre 2023
    Pré-annonce : Accompagnement Spécifique des Travaux de Recherches d’intérêt Défense (ASTRID) – édition 2024ASTRID vise à soutenir des projets à caractère fortement exploratoire et innovant, pour une durée de 18 à 36 mois. Le montant maximum de l’aide allouée est limité à 400 k€. La nature des travaux de recherche est spécifiquement duale (retombées à la fois civiles et militaires). Un large éventail de thématiques scientifiques peut être soutenu parmi les disciplines suivantes :
    • Ingénierie de l’information
    • Robotique
    • Cybersécurité
    • Fluides et structures
    • Ondes acoustiques et radioélectriques
    • Nanotechnologies, capteurs et composants
    • Photonique
    • Matériaux
    • Matériaux énergétiques et énergie
    • Biologie, santé, NRBC
    • Hommes et systèmes
    • Sciences humaines et sociales appliquées
    • Génie maritime et géosciences
    • Intelligence artificielle
    Les suites de ces projets pourront être accompagnées par le programme ASTRID Maturation ou d’autres dispositifs de financement de l’AID tels que RAPID ou les contrats d’études amont.

  • 7 décembre 2023
    Appel à projets franco-allemand en sciences humaines et sociales - FRAL 2024Cet appel à projets est ouvert à toutes les disciplines des sciences humaines et sociales. Il est destiné à soutenir des projets proposés conjointement par des équipes françaises et allemandes. D’un point de vue thématique, les projets de recherche communs ne sont pas tenus de concerner des objets et/ou des terrains franco-allemands. L’ANR et la DFG financeront respectivement les dépenses relatives aux équipes françaises d’un côté, allemandes de l’autre.
  • 6 décembre 2023
    Pré-annonce : Appel à projets transnational - Identification et validation de cibles pour les approches en médecine personnalisée (PMTargets) - EP PerMed Le JTC2024 visera à financer la recherche pour favoriser l’identification ou la validation de cibles dans les approches de médecine personnalisée. Les candidats qui soumettent une proposition dans le cadre de cet appel doivent combiner la recherche sur des cibles nouvelles et avancées, avec la recherche des biomarqueurs associés (diagnostics complémentaires). Les consortia doivent être transnationaux, interdisciplinaires, trans-sectoriels et définir clairement les perspectives en médecine personnalisée dans la recherche proposée. Les objectifs généraux du JTC2024 sont les suivants :
    1. Soutenir les projets de recherche visant à identifier ou à valider des cibles pour les approches de médecine personnalisée en combinaison avec le développement de biomarqueurs compagnons ou d’autres marqueurs pour permettre le suivi des résultats du traitement et la stratification des patients ; 
    2. Encourager et favoriser les collaborations interdisciplinaires en combinant la recherche préclinique et clinique dans des projets translationnels avec une recherche multi-acteurs engageant un éventail d’autres disciplines pertinentes telles que la recherche en bio-informatique, Santé Publique, ELSA, recherche sur la mise en œuvre des approches en MP, recherche sur l’économie de la santé liée au sujet de recherche proposé, mais aussi l’analyse du point de vue de l’utilisateur final pour favoriser la mise en œuvre de la MP ; 
    3. Encourager les collaborations intersectorielles, en incluant le secteur privé (p. ex., les PME, les petites et moyennes entreprises), l’industrie, ainsi que les organismes de réglementation et des HTA (health technology assessment) et les organisations de patients.
    Les projets de recherche dans toutes les pathologies sont encouragés. Téléchargez la pré-annonce du partenariat

  • 5 décembre 2023
    Pré-annonce : Appel à propositions pour des projets de recherche multinationaux et translationnels sur les interactions bidirectionnelles entre le cerveau et le corps - ERA-NET NEURONLe maintien, l'amélioration et la restauration de la santé du cerveau humain sont d'une importance fondamentale et constituent une priorité mondiale. Il est de plus en plus évident que la communication bidirectionnelle entre le système nerveux central et le corps a des implications significatives pour le maintien des fonctions homéostatiques et cérébrales. Les anomalies de l'interaction cerveau-corps liées à des facteurs génétiques, environnementaux ou au mode de vie englobent un large éventail d'affections qui touchent des millions de personnes dans le monde. La dérégulation de l'axe cerveau-corps peut potentiellement contribuer à divers troubles neurologiques et psychiatriques ou les exacerber. La prévalence estimée peut varier de manière significative en fonction de facteurs tels que la situation géographique, la démographie et les progrès en matière de diagnostic médical. L'étude des interactions bidirectionnelles entre le système nerveux central et l'organisme est un domaine de recherche émergent qui offre la possibilité d'améliorer notre compréhension des processus physiopathologiques souvent négligés qui interviennent dans les troubles neurologiques et psychiatriques courants. L'élargissement de nos connaissances actuelles dans ce domaine est crucial car il constitue la première étape vers le développement d'approches thérapeutiques et préventives visant à préserver et à améliorer la santé du cerveau à l'échelle mondiale.
  • 28 novembre 2023
    Un colloque pour mieux comprendre les recherches pour et sur la biodiversitéComment les communautés scientifiques se sont-elles emparées du concept de biodiversité ? Quels sont les grands enjeux de demain ? Comment accompagner les transformations de la recherche ? L’ANR, la Fondation pour la recherche sur la biodiversité (FRB) et l’Alliance nationale de recherche pour l’environnement (AllEnvi) organisent le 6 décembre une journée d’échanges autour d'un bilan de 15 années de financement de la recherche en biodiversité et d'une réflexion prospective pour la recherche. Décryptage avec Anne Lieutaud, Responsable scientifique à l’ANR sur cette thématique.
  • 28 novembre 2023
    La recherche créatrice d’innovations : retour sur les 10 ans des LabComL’ANR a célébré le 23 novembre 2023 à la Maison de la Chimie les 10 ans du programme LabCom, qui soutient la création de Laboratoires Communs entre les acteurs de la recherche académique, les acteurs socio-économiques et les entreprises. Un événement en présence de Sylvie Retailleau, ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche, rythmé par de nombreux témoignages et retours d’expérience illustrant tout l’intérêt et l’efficacité de ce dispositif, qui évoluera en 2024 en s’ouvrant aux start-up.
  • 28 novembre 2023
    Lauréat de l’appel à projets ExcellencES de France 2030, Sciences Po Paris lance son « Institut des transformations environnementales »Ce 6 novembre 2023, Sciences Po Paris a lancé son Institut des transformations climatiques. Cet institut s’inscrit dans le cadre du projet TIERED, lauréat de la vague 2 de l’appel à projets « Excellence sous toutes ses formes » de France 2030, opéré par l’ANR. Focus sur une stratégie d’établissement axée sur le dialogue entre les disciplines.
  • 27 novembre 2023
    Science ouverte : vers une fédération mondiale pour l’accès ouvert diamantDu 23 au 27 octobre 2023 à Toluca, au Mexique, s’est tenu le tout premier sommet mondial sur le modèle de science ouverte dit "diamant", coorganisé par 10 institutions, dont l’Agence nationale de la recherche (ANR). Quelles en ont été les conclusions ? Retour sur une nouvelle étape majeure ouvrant le projet d’une fédération mondiale pour l’accès ouvert diamant.
  • 23 novembre 2023
    Appel à projets Access ERC Starting Grants - 2024L‘appel Access ERC 2024 est ouvert uniquement aux disciplines des sciences humaines et sociales. Le financement de l’ANR consiste en un contrat post-doctoral d’une durée de deux ans (24 mois), comprise entre le 1er juillet 2024 et le 31 août 2026, ayant pour objectif le dépôt d’une candidature à l’ERC Starting Grants. Afin de permettre aux futur(e)s candidat(e)s de postuler à l’ERC Starting Grants avec les meilleures chances de réussite, l'ANR a pris des dispositions autorisant une grande rapidité dans la sélection des propositions, la mise en place des financements et permettant un accompagnement. Cela se résume à :
    • Un bénéficiaire unique de l’aide (l’organisme de recherche et de diffusion des connaissances français qui accueillera et accompagnera le jeune chercheur ou la jeune chercheuse pendant ces deux ans et sera Host Institution du dépôt à l’ERC) ;
    • Une sélection réalisée par un comité d’évaluation scientifique pluridisciplinaire ;
    • Un retour rapide aux candidats (résultats notifiés environ 4 mois après la date de clôture de l’appel) ;
    • Une réunion de démarrage pour fournir aux lauréat.e.s des informations sur l’ERC Starting Grants, notamment de la part des points de contact nationaux, pour le montage de leur future proposition.
    Le jeune chercheur ou la jeune chercheuse devra donc s’engager dans le cadre de cet appel Access ERC 2024 à déposer au moins une candidature à l’ERC Starting Grants dans l’un des 7 panels SHS, en octobre 2025 (ERC 2026), et même dès octobre 2024 (ERC 2025), si sa situation le lui permet. Une prise de poste entre le 1er juillet et le 1er septembre 2024 permettra au candidat ou à la candidate de disposer de 8 à 10 mois de contrat financé par Access ERC après le dépôt à l’ERC, si ce dépôt a lieu en octobre 2025. Pour candidater, le jeune chercheur ou la jeune chercheuse doit remplir les conditions suivantes :
    • Être titulaire d’un doctorat dans une discipline du domaine des Sciences humaines et sociales (ou tout diplôme ou qualification correspondant au standard international du PhD éligible à l’ERC).
    • Être éligible à l’appel ERC Starting Grants pendant la durée du contrat post-doctoral Access ERC (2 ans), c’est-à-dire avoir 2 à 7 ans d’expérience après la soutenance de thèse au 1er janvier de l’année d’édition de l’appel ERC Starting Grants visé. Cela implique d’avoir soutenu sa thèse entre le 1er janvier 2018 et le 31 décembre 2022 (inclus) pour candidater à l’appel ERC 2025 et entre le 1er janvier 2019 et le 31 décembre 2023 (inclus) pour l’appel ERC 2026 ,
    • Avoir obtenu la garantie d’être accueilli.e dans un laboratoire de recherche français (EA, UMR, UMS, UMIFRE…), où il ou elle bénéficiera de conditions de travail adaptées et de l’encadrement d’un superviseur. Le choix du laboratoire d’accueil est important puisque le projet déposé à l’ANR doit démontrer son insertion dans les axes scientifiques de cette unité et son impact au-delà des 2 ans de contrat post-doctoral. Le directeur d’unité et le superviseur (qui rédigeront conjointement une lettre d’engagement) peuvent être la même personne ou deux personnes différentes, mais ni l’un ni l’autre ne peut être le directeur de thèse.
    • Avoir fait preuve de mobilité à l’étranger ou en France, pendant au moins un an, durant la thèse ou après la thèse. 
    • Avoir une bonne maîtrise de l’anglais, oral et écrit.
    L’aide maximum allouée par l’ANR à la candidature dans le cadre de cet appel Access ERC 2024 est de 185 k€ (frais d’environnement exclus) pour une durée de deux ans, comprise entre le 1er juillet 2024 et le 31 août 2026. Cette aide couvrira le salaire du jeune chercheur ou de la jeune chercheuse, ainsi que ses dépenses de fonctionnement (mobilités, publications, organisation de colloque, etc.).

  • 23 novembre 2023
    Le programme LabCom : 10 ans de recherche partenariale au service de l’innovation - Dossier de presseL’ANR célèbre le 23 novembre 2023 à la Maison de la Chimie la 10ème année de son dispositif LabCom, qui soutient la création de Laboratoires Communs entre les acteurs de la recherche académique, les acteurs socio-économiques et les entreprises. La création de partenariats durables, structurés autour d’un projet commun, favorisant le développement de connaissances et de savoir-faire, constitue un élément important pour favoriser et stimuler l’innovation.
  • 22 novembre 2023
    Programme et Equipements Prioritaires de Recherche (PEPR) "Futur de la collaboration Numérique - eNSEMBLE"La collaboration numérique fait désormais partie du tissu de nos vies professionnelles et privées, du courrier électronique à la vidéoconférence, du partage de documents aux réseaux sociaux. Si les outils de collaboration actuels semblent couvrir les besoins des utilisateurs, ils sont en réalité très limités en termes de capacité, d'ouverture et de niveau d'intégration. Contrairement au téléphone et au courrier électronique, où n’importe qui peut communiquer avec n’importe qui, quel que soit son choix de fournisseur et d’application client, la plupart de ces outils enferment leurs utilisateurs dans des « jardins privés clos » et des silos d’informations, créant de facto des monopoles et étouffant l’innovation. Il est donc d'une importance cruciale de fournir aux utilisateurs dans leur ensemble des outils robustes, faciles à utiliser, mais puissants et sûrs, pour collaborer efficacement à plusieurs niveaux d'échelle, de petits groupes aux grandes foules, d'activités co-localisées aux activités à distance, de courtes activités impromptues à des projets sur le long terme, de simples discussions à des échanges temps réel sur des objets complexes. L'objectif du Programme et Equipements Prioritaires de Recherche (PEPR) "Futur de la collaboration Numérique - eNSEMBLE" (http://pepr-ensemble.fr) est de concevoir des plateformes collaboratives en considérant à la fois les préoccupations d’ingénierie, de conception, d’organisation, d’éducation et de réglementation. Pour réaliser cet objectif, il est nécessaire de changer de paradigme en passant de l'informatique personnelle à l'informatique collaborative ; il faut considérer l'ensemble de la « collaborative stack » (au sens de B. Bratton), depuis l'infrastructure jusqu'aux utilisateurs et leurs relations sociales, de manière intégrative. Résoudre un sous-objectif à la fois sera beaucoup moins efficace, voire contre-productif. Le projet nécessite donc un investissement fort et à long terme dans des travaux multidisciplinaires mêlant informatique, psychologie cognitive, sociologie, design, droit, économie et sciences des organisations. Les principaux défis du programme proviennent des différents aspects des systèmes socio-techniques que le projet revisite et sont reflétés dans les cinq projets ciblés du PEPR. Défi 1 : Concevoir de nouveaux environnements collaboratifs et de nouveaux modèles conceptuels Passer de l'informatique personnelle à l'informatique collaborative nécessite d'inventer de nouvelles formes d'environnements numériques qui prennent en charge le partage, la communication et la coordination dans des environnements hétérogènes où différents utilisateurs peuvent disposer de différentes capacités d'interaction. Défi 2 : Permettre des expériences collaboratives fluides qui soutiennent l'interopérabilité L’approche actuelle des services numériques, basée sur des silos d’informations et des jardins clos, crée des obstacles inutiles pour des collaborations fluides. Les utilisateurs doivent pouvoir créer leurs propres environnements collaboratifs sécurisés qui évoluent au cours du temps. Cela nécessite que l’interopérabilité soit présente à tous les niveaux de la pile socio-technique. C’est également essentiel pour permettre l’accessibilité à divers collectifs d’utilisateurs. Défi 3 : Combiner l’action humaine et artificielle dans des configurations collaboratives La combinaison de l’intelligence humaine et artificielle nécessite la création de nouveaux partenariats humain-machine où le tout est plus que la somme des parties. L’IA centrée sur l'humain doit favoriser l'acquisition de compétences plutôt que la déqualification, ainsi que l’intelligibilité et le contrôle par les acteurs humains. Défi 4 : Soutenir la création de collectifs sains et durables À mesure que les collectifs grandissent, ils doivent être capables de créer de manière dynamique des structures organisationnelles adaptées à la situation tout en gérant la confiance et en soutenant les soins (par exemple, limiter les connexions excessives, décourager le harcèlement, etc.). Cela nécessite de nouvelles mesures et métriques qui aient du sens pour que les acteurs gèrent ces structures. Défi 5 : Spécifier les normes sociotechniques avec des cadres juridiques/réglementaires Pour que l’approche proposée fonctionne dans le monde réel, les progrès technologiques à eux seuls ne suffisent pas. L'interopérabilité nécessite des cadres réglementaires et éventuellement juridiques ainsi que des modèles commerciaux pour assurer des conditions de concurrence équitables tout en garantissant une croissance économique saine. Cet appel à manifestation d'intérêt (AMI) est mis en place dans le cadre du PEPR Futur de la collaboration numérique afin :
    • D’Identifier les acteurs susceptibles de répondre aux futurs appels à projets, qu'ils viennent de laboratoires publics ou privés connus pour déjà travailler sur la collaboration numérique ou qu'ils constituent des nouveaux entrants dans le domaine, avec la possibilité de se positionner sur des projets ponctuels mobilisant leurs orientations actuelles de recherche.
    • D’Identifier et préciser les thèmes sur lesquels les acteurs sont en mesure de faire des propositions de recherche à court terme et d'établir un premier état de l'art du domaine.
    Ces différents éléments permettront de préciser les thèmes des futurs appels à projets (AAP) qui feront suite, destinés à sélectionner des projets de recherche en vue de leur financement. A titre indicatif, le montant total d'aide alloué est de 5 M€ pour chacun des appels en 2024 et 2025. La durée des projets sera au maximum de quatre ans. Au stade de l’AMI, les proposants peuvent se limiter à une liste indicative des Etablissements partenaires. Les projets complets qui seront déposés aux futurs appels à projets devront être partenariaux, les bénéficiaires des aides des projets complets seront des établissements français d’enseignement supérieur et/ou de recherche ou des groupements de ces établissements.

  • 21 novembre 2023
    PEPR Agroécologie et Numérique - Appel à Projets - 2023Le programme Agroécologie et Numérique est structuré en quatre axes complémentaires :
    • Axe 1 : Façonner un socio-écosystème propice à une recherche et une innovation responsable ;
    • Axe 2 : Caractériser les ressources génétiques pour évaluer leur potentiel pour l'agroécologie ;
    • Axe 3 : Concevoir de nouvelles générations d'équipements agricoles ;
    • Axe 4 : Développer des outils et des méthodes numériques pour le traitement des données et la modélisation en agriculture, pour les agroéquipements et pour l’aide à la décision.
    Le programme Agroécologie et Numérique soutient financièrement des projets d’infrastructures et de recherche à l’interface entre le numérique et l'agroécologie, qui mettent en œuvre des approches pluridisciplinaires et systémiques reposant sur l’hybridation des compétences issues des communautés de l’agronomie, de l’écologie, des sciences du numérique et des sciences sociales. Les projets déposés dans le cadre de cet appel à projets doivent s’inscrire dans un ou plusieurs des quatre axes présentés ci-dessus. Les infrastructures et les équipements financés doivent être structurants et fournir des données et des méthodes pour les pratiques agroécologiques. Dix projets de recherche et trois projets d’infrastructure ont été soutenus au démarrage du programme et alimentent les quatre axes scientifiques. Les objectifs et attendus de ces projets déjà financés ainsi que toutes les informations sur le programme sont accessibles en ligne sur le site du programme : https://www.pepr-agroeconum.fr Le présent appel à projets est ouvert à toute la communauté scientifique concernée par l’agroécologie et le numérique. Il a pour objectif de sélectionner pour financement des projets originaux et à fort potentiel pour l’agroécologie, sur des sujets non encore soutenus par le programme. Doté d’un montant maximum de 22 millions d’euros, cet appel à projets financera des projets de recherche ou d’infrastructures pour une durée de 3 à 5 ans avec des montants compris entre 1 et 3 millions d’euros. Un webinaire de présentation est prévu le 11/12/2023 à 10h00 (heure de Paris). Inscription au webinaire   

  • 20 novembre 2023
    Pré-annonce : appel à projets transnationaux pour mieux prévenir la résistance aux antimicrobiens, et mieux y faire face - IMPACT - JPIAMR 2024Alors que la résistance aux antibiotiques serait responsable de la mort de 1.27 millions de personnes en 2019 (Murray et al., 2022) et que la résistance aux fongicides gagne du terrain, il est désormais urgent d’agir sans attendre. Sans actions de prévention efficaces, et sans nouveaux traitements ou protocoles de soin, les pertes en vies humaines pourraient atteindre 10 millions de personnes en 2050. L’objectif de cet appel est donc d’identifier quelles sont les interventions les plus efficaces pour prévenir l’émergence et la diffusion des gènes de résistance et traiter les infections résistantes aux traitements antimicrobiens. En particulier cet appel vise à
    • Evaluer/comparer/améliorer l’efficacité d’interventions préexistantes, leur rapport coût-efficacité et leur adoption par les utilisateurs (médecins, vétérinaires, patients, agriculteurs). Les interventions considérées doivent avoir pour but la prévention de la résistance aux antibactériens, et aux antifongiques, ou le traitement des infections bactériennes et fongiques résistantes aux traitements, ou à risque de développer une résistance. Les interventions peuvent concerner l’ensemble des secteurs One Health (santé publique, animale, végétale, et environnement) si un lien avec la santé humaine est présent. 
    • Développer de nouvelles interventions pour prévenir et contrôler l’émergence de la résistance aux antifongiques, et apporter de nouveaux traitements contre les infections fongiques résistantes aux traitements, ou à risque de développer une résistance. Les interventions peuvent concerner l’ensemble des secteurs One Health (santé publique, animale, végétale, et environnement) si un lien avec la santé humaine est présent.   
    Par le biais de cet appel à projets, l’ERA-NET JPIAMR-ACTION vise à soutenir des projets de recherche innovants sur la résistance aux antimicrobiens, rapprochant des partenaires ayant une origine géographique et des expertises différentes et complémentaires. Chaque consortium doit inclure un minimum de 3 participants éligibles au financement et appartenant à 3 pays différents participants à l’appel à projets (Allemagne, Australie, Belgique, Canada, Espagne, France, Hongrie, Irlande, Israël, Italie, Lettonie, Lituanie, Moldavie, Norvège, Pays-Bas, Pologne, Royaume-Uni, Suède, Suisse) dont au moins 2 pays européens ou associés. Le nombre maximum de partenaires autorisés dans un consortium (y compris les partenaires non financés) est de 6. Le consortium peut être élargi à 7 participants si au moins un des participants est un jeune chercheur, est issu d’une entreprise ou travaille dans un laboratoire situé en Hongrie, Lettonie, Lituanie, Moldavie ou en Pologne. La participation des utilisateurs finaux ou bénéficiaires, des parties prenantes et des entreprises est encouragée. La participation de partenaires non financés est possible mais limitée à 30% du budget total demandé et leur nombre doit être inférieur au nombre de partenaires demandant un financement. L'ANR financera exclusivement les partenaires français des projets sélectionnés, à hauteur de 250 000 euros maximum par partenaire (330 000 euros maximum si le partenaire est le coordinateur du projet), et le budget maximum par projet est de 450 000 euros. Le financement sera attribué pour une durée initiale de trois ans maximum. En respect avec les engagements de l’ANR, les participants s’engagent à déposer leurs publications au sein d’archives ouvertes, et à respecter le protocole de Nagoya concernant l’utilisation des ressources génétiques.

  • 16 novembre 2023
    Lancement de la Chaire industrielle REVIDA sur les infections respiratoires viralesLe 11 octobre 2023, la Chaire industrielle REVIDA pour les maladies infectieuses respiratoires, portée par la chercheuse Sophie Trouillet-Assant (UCBL/HCL), a officiellement été lancée par l’Université Claude Bernard Lyon 1, les Hospices Civils de Lyon et bioMérieux, avec le soutien de l’Agence nationale de la recherche. Elle doit permettre de renforcer la capacité des systèmes de santé à faire face à l’émergence de nouvelles maladies respiratoires.
  • 14 novembre 2023
    L’ANR accueille l’Assemblée Générale du partenariat européen Water4All – Water Security for the PlanetLes 14 et 15 novembre 2023 se tient à Paris l’Assemblée Générale du partenariat européen Water4All – Water Security for the Planet. Ce partenariat, coordonné par l’Agence nationale de la recherche (ANR) et co-financé par l’Union européenne, s’inscrit dans le cadre du programme de recherche et d'innovation d’Horizon Europe. Son objectif : contribuer, par une recherche et une innovation mutualisées au niveau international, à la sécurité de l’eau pour tous et sur le long terme.
  • 9 novembre 2023
    Sommet mondial sur l’accès ouvert diamant : la communauté internationale s’engage à faire progresser les initiatives dans ce domaine au niveau mondialLe Sommet mondial sur l’ accès ouvert diamant, qui s'est tenu à Toluca, au Mexique, et en ligne, du 23 au 27 octobre 2023, s'est conclu avec succès par un engagement commun de la communauté internationale pour promouvoir l’écosystème de l’accès ouvert diamant. Organisé par Redalyc, UAEMéx, AmeliCA, UNESCO, CLACSO, UÓR, ANR, cOAlition S, OPERAS, et Science Europe, le Sommet a réuni pour la première fois, l’ensemble des parties prenantes de l’écosystème international diamant, pour promouvoir la qualité, la durabilité, la facilité d'utilisation et l'équité de l'accès à la communication scientifique.
  • 9 novembre 2023
    Biologie – santé : webinaire sur les appels à projets transnationaux 2024, le 1 décembre 2023Le Point de Contact National (PCN) Santé organise, en collaboration avec l'ANR, un webinaire le 1 décembre 2023 à 10h dédié à la présentation des différents appels à projets transnationaux en Santé auxquels participera l'ANR. Ce webinaire, sur inscription, s’adresse principalement aux communautés scientifiques du domaine.
  • 2 novembre 2023
    JPcofuND 2 Groupes de travail « Technologie numérique appliquée à la recherche et la pratique clinique dans les maladies neurodégénératives »L’objectif de cet appel est de financer des groupes de réflexion visant à identifier les principales technologies, leur utilisation jusqu’à présent ainsi que leur impact potentiel pour les maladies neurodégénératives ; identifier les principales lacunes, difficultés et résultats issus de la recherche avec un potentiel pour améliorer l’utilisation des technologies numériques pour le diagnostic et le traitement des maladies neurodégénératives ; analyser les risques et les opportunités liées à l’utilisation de technologies numériques dans le contexte de ces maladies ; élaborer autour des aspects éthiques de ces technologies en particulier avec une perspective axée sur les patients et aidants formels et informels. Les groupes de travail doivent impliquer des membres issus des disciplines et approximations complémentaires i.e. cliniciens, ingénieurs, physiciens, informaticiens, mathématiciens et inclure des aspects juridiques, technologiques et/ou sociaux. Les propositions doivent considérer des aspects liés à l’invalidité, sexe, considérations éthiques ainsi que des aspects socioéconomiques et culturels. Les travaux seront financés pour une période maximale de 12 mois à hauteur de 50 000€ pour rembourser des frais liés à leurs activités (i.e. réunions ; frais de voyage). Les coordinateurs des consortia doivent travailler dans une institution éligible au financement de l’un des organismes de financement participant à l’appel.
  • 26 octobre 2023
    La mission InSight révèle une couche fondue à la base du manteau martienL’analyse par l’équipe de la mission InSight des données sismiques enregistrées sur Mars suite à un impact de météorite survenu en septembre 2021 bouleverse notre vision de la structure interne de la planète rouge et de son évolution. Une étude publiée le 26 octobre dans la revue Nature et impliquant des scientifiques français du CNRS, de l’IPGP, de l’ISAE-SUPAERO et d’Université Paris Cité, propose un nouveau modèle pour l’intérieur de Mars, avec un manteau non homogène composé d’une couche de silicates fondus surplombant le noyau martien, qui explique l’ensemble des observations géophysiques.
  • 24 octobre 2023
    Mieux soigner les maladies mentales grâce à la psychiatrie de précision - PEPR PROPSYLauréat de la deuxième vague de l’appel à programmes de recherche exploratoire de France 2030, PROPSY – Psychiatrie de précision, piloté par l'INSERM et le CNRS, est doté de 80 M€ sur 5 ans. En s’inspirant des outils et techniques propres à la médecine de précision, PROPSY souhaite insuffler de l’innovation - et de l’espoir - dans une discipline en pleine mutation. Entretien avec Marion Leboyer, psychiatre, PU-PH à l’Université Paris-Est Créteil, cheffe de l’équipe NeuroPsychiatrie Translationnelle de l’Institut Mondor de recherche biomédicale (Inserm U955), directrice générale de la fondation FondaMental et directrice du programme PROPSY.
  • 24 octobre 2023
    LabCom : 10 ans de recherche partenariale au service de l’innovationEncourager la création de partenariats durables et favoriser le développement de connaissances et de savoir-faire facteurs d’innovation : tels sont les objectifs du programme LabCom, lancé par l’ANR en 2013. À l’occasion de l’événement organisé pour les 10 ans du programme, le 23 novembre prochain à Paris, le point avec Eric Papon, responsable scientifique recherche partenariale à l’ANR, et chargé de Mission Filière Industrielles et Socio-Économiques à l’université de Bordeaux.
  • 24 octobre 2023
    Festival "Et maintenant ?" Le Prix de l’essai France Culture - ARTE 2023 est décerné à Chowra Makaremi pour Femme ! Vie ! Liberté !En lice parmi cinq finalistes, l’essai Femme ! Vie ! Liberté ! de Chowra Makaremi sur le soulèvement révolutionnaire en Iran remporte cette année le Prix de l’essai France Culture – Arte, soutenu par l’Agence nationale de la recherche (ANR), dans le cadre de Et maintenant ? le festival international des idées de demain.
  • 20 octobre 2023
    L’ANR partenaire du Festival international PariscienceL’Agence nationale de la recherche soutient, pour la première fois, la 19e édition du Festival Pariscience qui se déroule du 11 au 30 octobre au Muséum national d’Histoire naturelle, à Paris. Ce festival international du film scientifique a pour objectif de présenter une sélection des meilleurs documentaires scientifiques français et internationaux récents avec l'ambition d'interpeller, de débattre et de réfléchir à un futur souhaitable.
  • 18 octobre 2023
    Nanotechnologies et technologies avancées pour la prévention, le diagnostic et la thérapie des maladies (NANOTECMEC) – ERA4Health 2024L’objectif de cet appel est de permettre aux scientifiques de différents pays de construire une collaboration efficace sur des projets de recherche interdisciplinaires fondés sur la complémentarité et le partage d’expertise dans domaine de la nanomédecine avec une réelle approche de recherche translationnelle. Plus précisément les propositions devront porter sur des sujets de recherche sur l’une ou les deux thématiques suivantes : a) Médecine régénérative b) Diagnostic c) Nanothérapie La nanomédecine a le potentiel de permettre la détection précoce mais aussi la prévention des maladies, et d'améliorer le diagnostic, le traitement et le suivi des maladies. En outre, l'intégration des technologies clés génériques (KET) aux nanotechnologies offrira à la nanomédecine des possibilités encore plus grandes de favoriser l'innovation pour de nouvelles applications médicales. L'étude d'autres technologies clés génériques n'est possible que si elles sont utilisées en complément ou en combinaison avec les nanotechnologies. Seuls les projets transnationaux seront financés. Les conditions suivantes devront s’appliquer pour la composition des consortia :
    • Minimum de trois partenaires éligibles au financement et maximum de cinq partenaires éligibles et appartenant à au moins trois pays différents participant à l’appel.
    • Pas plus de deux partenaires éligibles issus du même pays au sein d’un même consortium.
    • Le consortium peut être élargi à 6 ou 7 partenaires s’il inclut un ou deux partenaires issus des pays suivants : Lettonie, Lituanie, Slovaquie, Turquie.
    • Maximum de deux collaborateurs par consortium. Les collaborateurs sont des partenaires sur fond propre : ce sont des partenaires qui ne demandent pas de financement auprès d’une organisation de financement dans le cadre de l’appel (partenaire issu d’un pays non financé ou ne pouvant être financé selon les règles nationales/régionales des organisations de financement participant à l’appel).
    L'ANR financera les partenaires français des projets sélectionnés. En respect avec les engagements de l’ANR, les participants s’engagent à déposer leurs publications au sein d’archives ouvertes, et à respecter le protocole de Nagoya concernant l’utilisation des ressources génétiques.

  • 17 octobre 2023
    3e édition du festival « Et maintenant ? » : l’ANR donne rendez-vous le samedi 21 octobre 2023 à la Gaîté Lyrique « Et maintenant ? », le festival international des idées de demain organisé par ARTE et France Culture avec le soutien de l’Agence nationale de la recherche, était de retour le 21 octobre 2023 à la Gaîté lyrique à Paris pour une journée d’échanges sur le temps, la démocratie et le vivant. Au programme : des rencontres, débats, ateliers participatifs, la remise du prix de l’essai...
  • 16 octobre 2023
    Recherches portant sur la modulation du vieillissement du cerveau par la nutrition et d’autres facteurs liés au mode de vie (NutriBrain) – ERA4Health 2024L’ANR s’associe au nouvel appel à projets transnationaux lancé dans le cadre du Partenariat ERA4Health, visant à promouvoir un espace européen pour la santé. Ce nouvel appel réuni 21 pays : Allemagne, Autriche, Belgique (incluant la Wallonie, Bruxelles et la Flandre), Danemark, Espagne (incluant la région d’Andalousie), Estonie, France, Irlande, Israël, Italie, Lettonie, Lituanie, Norvège, Pays-Bas Pologne, Portugal, Roumanie, Slovaquie, Suisse, Taïwan et Turquie. Cet appel sera doté d’un budget global d’environ 19 millions d’euros. L'objectif de l'appel est de soutenir des projets de recherche transnationaux axés sur l'amélioration du vieillissement cognitif du cerveau par la nutrition et d'autres facteurs liés au mode de vie. Il permet ainsi à des scientifiques de différents pays d'établir une collaboration précieuse sur des projets de recherche interdisciplinaires basés sur des complémentarités et le partage d'expertise dans le domaine du vieillissement cérébral, des troubles qui y sont liés, de la nutrition et des facteurs liés au mode de vie. Les propositions doivent permettre de mieux comprendre la modulation du vieillissement cérébral par des facteurs liés au mode de vie et/ou de tester des interventions basées sur des preuves existantes dans la littérature ou d'étendre des interventions pilotes existantes qui contribueront à réduire le risque de manifestations de déficience cognitive liées à un vieillissement cérébral pathologique. Au moins un des facteurs de mode de vie suivants devrait être étudié : la nutrition (en particulier l'amélioration des habitudes alimentaires), l'activité physique, les habitudes de sommeil, l'interaction sociale ou le stress. Seuls des projets transnationaux seront financés. Les conditions suivantes devront s’appliquent pour la composition des consortia :
    • Minimum de trois partenaires éligibles au financement et maximum de cinq partenaires éligibles et appartenant à au moins trois pays différents participant à l’appel.
    • Pas plus de deux partenaires éligibles issus du même pays au sein d’un même consortium.
    • Le consortium peut être élargi à 6 ou 7 partenaires s’il inclut un ou deux partenaires issus des pays suivants : Lituanie, Roumanie, Slovaquie.
    • Maximum de deux collaborateurs par consortium. Les collaborateurs sont des partenaires sur fond propre : ce sont des partenaires qui ne demandent pas de financement auprès d’une organisation de financement dans le cadre de l’appel (partenaire issu d’un pays non financé ou ne pouvant être financé selon les règles nationales/régionales des organisations de financement participant à l’appel).
    L'ANR financera les partenaires français des projets sélectionnés. En respect avec les engagements de l’ANR, les participants s’engagent à déposer leurs publications au sein d’archives ouvertes, et à respecter le protocole de Nagoya concernant l’utilisation des ressources génétiques.

  • 12 octobre 2023
    Santé mentale des étudiants : prévenir pour mieux guérirParticulièrement vulnérables aux problèmes de santé mentale, les étudiants ont vu leur état psychologique se dégrader durant la pandémie de la Covid-19. Sur le campus de l’Université de Nîmes, face à l’augmentation de la détresse psychologique, des troubles anxieux et dépressifs de leurs étudiants, des chercheurs ont suivi leur évolution psychologique et mis en place différents programmes pour les accompagner au quotidien. Des résultats à découvrir dans le cadre de la Journée mondiale de la santé mentale 2023.
  • 11 octobre 2023
    Du plaisir à l’addiction : le rôle-clé de la dopamine dans l’alcoolodépendanceEn France, près de 10 % des adultes souffrent d’alcoolodépendance. Des chercheurs de l’Institut des Neurosciences de Grenoble tentent de comprendre les mécanismes à l'œuvre dans ce besoin compulsif de boire. Dans une région du cerveau, chez le rat, ils ont notamment mis en cause le rôle pour cette addiction d’un déficit en dopamine - un neurotransmetteur impliqué dans la motivation via la récompense que cela procure. Corriger ce dysfonctionnement pourrait ainsi ouvrir de nouvelles pistes thérapeutiques. Des résultats à découvrir dans le cadre de la Journée mondiale de la santé mentale 2023.
  • 10 octobre 2023
    "La santé mentale est un droit humain fondamental"Troubles anxieux, dépression, schizophrénie ou addictions : la santé mentale et les maladies psychiques qui l'altèrent sont encore aujourd’hui entourées de nombreux stéréotypes, une double peine pour les personnes concernées, trop souvent stigmatisées. La recherche s’organise pour mieux comprendre les mécanismes neurobiologiques de ces pathologies, prévenir les troubles psychiques, établir des diagnostics précoces et développer de nouvelles thérapeutiques.
  • 4 octobre 2023
    Coopération scientifique franco-américaine : l’ANR et la NSF renforcent leur collaborationThierry Damerval, Président-directeur général de l’Agence nationale de la recherche (ANR) et Sethuraman Panchanathan, Directeur de la National Science Foundation (NSF) ont signé le 26 septembre 2023 un Memorandum of Understanding (ou protocole d’accord) pour poursuivre le co-financement de projets de recherche et l’échange de bonnes pratiques afin de faciliter le développement des coopérations scientifiques entre la France et les Etats-Unis. Deux nouvelles opportunités de financement sont proposées dans ce cadre.
  • 3 octobre 2023
    « Et maintenant ? » - le festival international des idées de demain 3ème édition - Communiqué de presse"Et maintenant ?" - le festival International des idées de demain porté par ARTE et France Culture avec le soutien de l’Agence nationale de la recherche (ANR) revient le samedi 21 octobre à la Gaîté lyrique à Paris pour sa 3ème édition. Des rencontres, café-débats, avant-premières, Battle de BD, ateliers participatifs, live, DJ set… Trois thématiques seront les fils conducteurs de cette journée : le Temps, la Démocratie et le Vivant. Un festival convivial, interactif et transgénérationnel.
  • 2 octobre 2023
    PEPR Exploratoire FairCarboN - Appel à projets 2023 "Le carbone dans les écosystèmes continentaux : leviers et trajectoires pour la neutralité carbone"Le présent appel à projets (AAP) FairCarboN a pour objectif de lever les verrous de connaissances sur les processus clés régissant le cycle du carbone et leurs réponses aux changements globaux, ainsi que sur les leviers écologiques, agronomiques et socio-économiques à actionner pour la mise en œuvre de la transition écologique et de la neutralité carbone. Il fait suite au premier AAP et permettra le financement de projets sur les thématiques non couvertes par les projets lauréats lors de la première vague, notamment sur les axes 3 (Développement de la production et de l'utilisation de la biomasse végétale) et 4 (Questions économiques et sociales : moteurs et impacts du changement). Le programme souhaite capitaliser sur le dynamisme de la communauté nationale répartie dans différentes institutions ainsi que sur les atouts des dispositifs de recherche sur les territoires métropolitain et ultra marin mais aussi à l’international, notamment dans les pays du Sud. La mobilisation de cette large communauté scientifique à travers ce programme ambitieux est la condition sine qua non pour déterminer précisément la contribution possible des écosystèmes continentaux à l’atténuation du changement climatique, sans laquelle l’objectif de l’accord de Paris n’est pas atteignable. Le dépôt des projets est attendu avant le 24 janvier 2024. Les projets seront évalués par un jury indépendant. Cette deuxième vague de l’AAP mobilisera un maximum de 6.1 M€ et le montant de l’aide demandée par projet doit se situer entre 0.80 et 1.25 M€. La durée des projets est de 4 à 5 ans. L’établissement coordinateur doit être un établissement français d’enseignement supérieur et de recherche ; un même responsable du projet ne pourra être porteur que d’un seul projet.
  • 30 août 2023
    PEPR Exploratoire LUMA - Appel à manifestation d’intérêt - 2023Le présent appel à manifestations d’intérêt (AMI) est destiné à sélectionner les quatre Moonshot Projects correspondants aux quatre axes de recherche thématique identifiés :
    • Axe 1 : Chiralité / Lumière, matière et réponses chirales
    • Axe 2 : Photochimie et matériaux / Photochimie et photostructuration de la matière
    • Axe 3 : Énergie et environnement / Conversion de l’énergie solaire et protection contre la photodégradation
    • Axe 4 : Santé / Lumière et cibles moléculaires pour les photothérapies de demain
    L’objectif de cet appel à manifestations d’intérêt est de recevoir des candidatures de consortiums, constitués de plusieurs équipes de recherche, susceptibles d’aborder et d’obtenir des avancées scientifiques dans le cadre des sujets décrits dans le texte de cet appel. Les réponses attendues ne doivent adresser qu’un seul des quatre axes thématiques. Dans le cadre d’un processus géré par l’ANR, quatre projets de consortiums (Moonshot Projects, un par axe) seront financés après décision de la Première ministre. Le montant de l'aide pour chaque projet sera de 2 M€ en moyenne. Un réajustement de l’enveloppe budgétaire pourra avoir lieu, en fonction de la couverture thématique proposée par chaque consortium. Chaque Moonshot Project pourra bénéficier du financement LUMA pendant une durée de 5 ans pour réaliser les travaux de recherche proposés, suite à une contractualisation avec l’ANR sous forme de Projet Ciblé. Attention : la date limite pour le dépôt de l'annexe financière (version du 24/11/23) et de la lettre d’engagement est le 21/12/2023 à 11h00. Seule la lettre d’engagement est à faire signer par l’établissement coordinateur du projet.

  • 28 juillet 2023
    Appel à projets Transnational Conjoint Water4All 2023 sur les "Services écosystémiques aquatiques"Cet appel à projets transnational est lancé dans le cadre du partenariat européen Water4All et soutient des projets de recherche et d'innovation qui portent sur les services écosystémiques aquatiques, incluant les eaux de surface intérieures, les eaux souterraines, ainsi que les eaux de transition. Conformément aux objectifs stratégiques de Water4All, les résultats des projets doivent contribuer à la mise en œuvre de politiques et stratégies de gestion de l'eau mondiales, européennes et nationales, dans le cadre du Green Deal, de la Directive Cadre sur l'Eau (DCE), de la Transition Juste et des Objectifs de Développement Durable des Nations Unies. Les propositions devront tenir compte des cadres législatifs et stratégiques appropriés aux niveaux national et international qui visent à atténuer les impacts du changement global sur les services écosystémiques aquatiques. Thématiques de recherche : Les propositions de recherche et d’innovation soumises dans le cadre de cet appel et ses différentes modalités doivent aborder au moins l’un des sujets suivants :
    1. Cartographie, suivi et évaluation pour une meilleure compréhension des services écosystémiques dans un contexte de changements, du changement local au changement global. 
    2. Mieux comprendre et prévoir les relations pressions multiples (y compris les pressions anthropiques) – impact – réponse dans les services écosystémiques à l’aide de méthodes et techniques avancées. 
    3. Des nouveaux outils et solutions pour une meilleure intégration des services écosystémiques dans la gestion des ressources en eau.
    Cet appel comprend en outre deux modalités supplémentaires :
    • Une modalité ciblant les chercheurs en début de carrière (ayant soutenu sa thèse depuis moins de 10 ans soit après le 1er janvier 2013), 
    • Une possibilité de manifestation d’intérêt pour la participation à des activités de Knowledge Hub, groupe visant à renforcer les échanges entre les projets et à contribuer à des actions de synthèse.
    Le budget prévu pour l'appel s'élève à environ 29 millions d'euros qui seront abondés par la Commission européenne. Les pays participant au financement de cet l’appel sont : Afrique du Sud, Autriche, Belgique, Brésil, Danemark, Espagne, Estonie, Finlande, France, Grèce, Hongrie, Irlande, Israël, Italie, Lettonie, Lituanie, Luxembourg, Malte, Norvège, Pays Bas, Pologne, Portugal, République de Moldavie, République Tchèque, Roumanie, Royaume Uni, Slovaquie, Suède, Suisse, Turquie.

  • 27 juillet 2023
    PEPR Systèmes Alimentaires, Microbiome et Santé – Appel à projets « SAMS »Le pilier "Microbiomes et santé" se concentre sur la compréhension des facteurs qui déclenchent la transition d'un microbiome sain vers un état de dysbiose, ce qui devient essentiel pour prendre des mesures préventives personnalisées et réduire le fardeau des maladies chroniques liées au microbiome d'une personne. Un changement de paradigme visant à transformer à la fois le diagnostic et le suivi, ainsi que la prévention, les traitements et les interventions thérapeutiques, devient crucial. Ce premier appel vise donc à accroître les connaissances sur les mécanismes de symbiose entre microbiomes et hôtes, les stades précoces d'apparition et de progression des maladies chroniques liées aux microbiomes et les moyens de les corriger afin d'améliorer la prise en charge des patients et d'optimiser les traitements, mais aussi d'assurer la prévention dans la population générale. Par conséquent, l'appel comprend la caractérisation des mécanismes et de biomarqueurs de la symbiose hôte-microbiote, l'identification d'éléments perturbateurs et la compréhension de la séquence d'événements microbiens, métaboliques et immunitaires et de leurs conséquences, qui sont à l'origine d'altérations de l'homéostasie et de la santé. Sont également attendus des projets visant à identifier des biomarqueurs de risque, de diagnostic, de pronostic et de prédiction de la réponse et de la toxicité des traitements, ainsi que le développement de nouvelles stratégies préventives et thérapeutiques qui identifient et corrigent les "défauts" des interrelations microbiome-hôte. Le pilier "Consommation et systèmes alimentaires durables" repose sur la reconnaissance de la nécessité de modifier le comportement des consommateurs pour résoudre les problèmes de santé publique et d'environnement. Cependant, de tels changements sont difficiles à réaliser pour de nombreux consommateurs, en particulier ceux qui disposent de peu de ressources matérielles et éducatives. Un défi important consiste donc à identifier et à analyser dans quelle mesure les interventions publiques, privées et communautaires peuvent encourager et soutenir ces changements. Il s'agit également de déterminer comment les changements de comportement des consommateurs peuvent contribuer à modifier l'offre alimentaire - en ce qui concerne les qualités nutritionnelles et environnementales des produits alimentaires, ainsi que des changements structurels plus profonds tels que ceux induits par la relocalisation des systèmes alimentaires. Dans cette perspective, le présent appel à projets vise à soutenir des projets de recherche originaux et structurants qui se concentrent sur les déterminants des changements de comportement des consommateurs et sur les conditions dans lesquelles ces changements pourraient mieux contribuer à la prévention des risques pour la santé au niveau individuel et de la population et favoriser une évolution vers des systèmes alimentaires plus durables, en particulier au niveau local. À l'interface des deux piliers, des projets portant par exemple sur l'évaluation des changements de comportement alimentaire et de leurs effets sur la santé humaine, par le biais de questions liées au microbiome, sont dans le périmètre de cet appel à projets. Les projets devront s'appuyer sur des consortiums de recherche pluridisciplinaires. Ils pourront viser des avancées dans les connaissances fondamentales, ainsi que des résultats plus appliqués, liés à la thérapeutique, aux solutions de prévention des risques sanitaires et aux politiques publiques. Le présent appel à projets comporte deux phases :
    • 1ère phase : une première phase non sélective et non obligatoire de dépôt d’une lettre d’intention. Cette première phase, non sélective et non obligatoire pour pouvoir répondre à la seconde phase de dépôt des projets détaillés, a pour objectif d’identifier si nécessaire des manques et des besoins de compétences complémentaires dont le projet pourrait bénéficier. Si le consortium juge ne pas couvrir l’ensemble des expertises nécessaires à son ambition, il peut le signaler lors de cette phase et demander à être accompagné pour la recherche des équipes apportant les expertises manquantes. La période d’animation autour de l’appel à projets et en amont du dépôt de projet complet a pour but de faire émerger des consortia ambitieux. Les directeurs et le comité de programme du PEPR SAMS organiseront alors des ateliers d’échanges rassemblant les consortia ayant manifesté́ leur intérêt afin de favoriser le dialogue entre les chercheur-se-s pour leur permettre de faire émerger des projets structurés et interdisciplinaires répondant aux enjeux et objectifs du PEPR SAMS.

    • 2ème phase : la deuxième étape consistera à déposer les projets détaillés, en vue de leur évaluation par un comité d’évaluation international mandaté par l’ANR

    Cet appel à projets vise à soutenir des projets d’envergure, d’une durée de 3 à 5 ans, avec des financements allant de 1 à 2,5 M€ pour le pilier « Microbiomes et Santé », de 800 k€ à 1 M€ pour le pilier « Consommation et Alimentation Durable » et de 1 à 2,5 M€ pour des projets d’interface entre les deux piliers (texte de l'appel mis à jour le 22.11.2023).

  • 26 juillet 2023
    PEPR Solutions pour la ville durable et le bâtiment innovant– Appel à projets « Ville Durable et bâtiment innovant »La mise en œuvre des villes durables et des bâtiments innovants intervient dans un long processus en cours, celui de l’urbanisation généralisée : processus dont il convient de modifier la trajectoire dans le cadre d’une transition nécessaire pour pallier des changements environnementaux globaux. Cette urbanisation généralisée complexifie les situations territoriales dans la mesure où elle efface les frontières de la ville. De fait, les oppositions traditionnelles entre ville et campagne tendent à disparaître et sont remplacées par des disparités de conditions d’existence entre les territoires urbanisés (en termes de santé, d’accès à l’information et à l’emploi, à la culture et aux loisirs, de mobilité et de ressources de tout ordre). Dans ce contexte les définitions relatives à « ville », « urbain », urbain généralisé », « mégapole », etc. font débat. Par facilité de langage, il sera question indistinctement de ville / d’urbain / de territoires urbanisés / d’urbanisation généralisée (incluant bien évidemment les territoires péri-urbains), non pas pour signifier une position scientifique ou technique, mais pour définir des problèmes à différentes échelles : locale, régionale, nationale, internationale, globale. Enfin, les questions urbaines ne peuvent pas être séparées des questions relatives aux bâtiments, aux constructions comme à l’ensemble des infrastructures. Aussi, dès lors que la question urbaine est posée, elle devrait intéresser à la fois l’ensemble (aménagement urbain, agglomération, territoire urbanisé, ville, etc.) et les parties (notamment les bâtiments). En ce sens, les séparations traditionnelles entre architecture, urbanisme ou aménagement, génie civil et construction doivent être mises en synergie dans une seule problématique autour de la durabilité, de la soutenabilité et de la résilience face aux changements globaux. Ce premier appel à projets est ouvert à l’ensemble des chercheurs issus d’organismes de recherche et d’établissements de recherche et d’enseignement supérieur français souhaitant proposer des contributions pour répondre aux objectifs du PEPR VDBI. Des porteurs d’enjeux (ex. : collectivités, ONG, acteurs socio-économiques...) et autres partenaires français et internationaux peuvent être associés aux consortiums et sont fortement attendus. Les parties prenantes (collectivités locales, entreprises…) ou des laboratoires étrangers potentiellement partenaires ne pourront pas disposer de financement direct par l’ANR. Toutefois, certains financements complémentaires peuvent être envisagés dans le cadre d’accord avec des équipes européennes ou internationales. Les liens avec d’autres programmes nationaux européens ou internationaux peuvent aussi être mentionnés afin de démontrer ces synergies. Le présent appel à projets vise à :
    • Relever des défis ; au nombre de 5 grandes catégories, ils sont décrits comme autant de difficultés de mise en œuvre de villes durables et bâtiments innovants qu’il faut surmonter, une sixième catégorie de défis, les défis émergents, consiste à identifier de nouvelles difficultés jusqu’ici peu identifiées. Enfin, ces défis sont interdépendants et en traiter un implique de traiter les autres, même si l’un ou plusieurs d’entre eux constituent une entrée privilégiée dans la recherche ;

    • Proposer de nouvelles questions scientifiques originales pour répondre aux objectifs, défis et aux enjeux de VDBI ;

    • Contribuer à la production de connaissances pour alimenter les défis en s’appuyant sur les centres opérationnels présents dans le programme ;

    • Faire émerger et créer de nouveaux consortiums pour lever les verrous, que rencontrent les acteurs du territoire et proposer des solutions co-construites avec les acteurs territoriaux de territoires plus durables ;

    • Contribuer à la formation d’une communauté organisée autour d’un champ scientifique et technique focalisé sur les villes et bâtiments durables et leur mise en œuvre.

    Deux appels à projet sont prévus dans le cadre du PEPR VDBI. Le présent appel mobilisera au maximum 18 M€ et le second appel devrait mobiliser, deux ans après le premier appel, le reste du budget attribué à ce PEPR (soit autour de 9 M€). Les projets retenus feront l’objet d’un suivi en continu par les porteurs scientifiques du PEPR VDBI et devront présenter leurs avancées chaque année lors des conférences nationales VDBI. Ils devront par ailleurs s’articuler et nourrir les trois centres opérationnels lancés dans le cadre du PEPR VDBI, au service des travaux de la communauté scientifique nationale. Le présent appel à projets comporte deux phases :
    • 1ère phase : une première phase non sélective et non obligatoire de dépôt d’une lettre d’intention. Cette première phase, non sélective et non obligatoire pour pouvoir répondre à la seconde phase de dépôt des projets détaillés, a pour objectif d’identifier les sujets et les équipes et consortiums potentiellement intéressés. Les lettres d’intention ne feront pas l’objet d’une évaluation, mais permettront à la communauté scientifique de formuler ses propositions de recherche et d’identifier d’éventuels manques de compétences au sein de chaque consortium. Les déposants de lettres d’intention seront invités à participer aux journées scientifiques du PEPR organisées les 16 et 17 octobre à Lyon, destinées à affiner les consortiums pertinents et aider à préparer des projets en bonne adéquation avec les attentes et objectifs du programme.

    • 2ème phase : la deuxième étape consistera à soumettre les projets détaillés, en vue de leur évaluation par un comité d’évaluation international mandaté par l’ANR.

    Le montant de l’aide par projet attendu devrait se situer entre 1 M€ à 3 M€, pour une durée de 4 à 6 ans, laissant ainsi la possibilité de proposer des consortiums nationaux impliquant plusieurs disciplines académiques et plusieurs laboratoires, en lien avec des parties prenantes de la VDBI. La capacité à mobiliser différentes disciplines et à les associer de manière pertinente et efficiente sera particulièrement appréciée.

  • 10 juillet 2023
    Défi "Transfert robotique" - Appel à projets - 2023Pour concevoir et mettre en œuvre une solution robotique, parmi les briques technologiques potentiellement disponibles, quelles sont les mieux adaptées aux contraintes opérationnelles ? La stratégie robotique et machines intelligentes s’inscrivant en transverse des filières, il n’y aura pas d’appréciation discriminante en fonction des thématiques sectorielles, ou des technologies développées : tout type de projet a vocation à être retenu s’il vérifie les critères d’éligibilité et répond aux objectifs de l’appel à projets. Ainsi sont éligibles par exemple les drones (air, terre, mer), imprimantes 3D, machines à commande numérique, les équipements robotiques, les robots industriels, cobots, robots de service professionnel, robots de service personnel et les robots médicaux (classification International Federation of Robotics, IFR). Il n’y a aucune appréciation discriminante quant aux formes et types de robots et machines intelligentes ainsi que leurs marchés applicatifs – infrastructures, industrie manufacturière, logistique, énergie, automobile, électronique, mobilité, naval, construction & démolition, bâtiment, inspection, surveillance, secours, sécurité, santé, hospitalité & loisirs, nettoyage, agriculture et sylviculture, éducation et formation, … sans que cette liste ne soit exhaustive. Pour chaque filière ciblée, le défi portera sur le transfert de briques de technologies clés les plus génériques possibles et proposera des solutions répondant aux problématiques à forts enjeux pour la souveraineté. En accompagnant les projets depuis leurs fondements de Recherche jusqu’à une mise en œuvre opérationnelle, le défi permet de réduire la prise de risques potentiellement liés à l'intégration en 1ere exploitation et/ou de solutions en rupture. La dynamique du défi permettra d'apporter un retour d'expérience et une montée en compétences pour les académiques, les équipementiers, les intégrateurs et les entreprises utilisatrices. Le défi se fixe aussi comme objectif de participer à l’animation et au maillage des communautés public/privé. La mise en œuvre opérationnelle de cet appel à projets sera prise en charge par l’ANR, pour la sélection des pré-projets et la sélection des projets en phase 1. L’établissement chef de file pour la phase 1 doit être un organisme de recherche. L’établissement chef de file pour la phase 2 doit être un acteur privé ou un acteur public opérationnel. Les préprojets sélectionnés auront 4 mois pour déposer un projet complet. Une subvention comprise entre 50K€ et 100K€ pourra être demandée afin de supporter les coûts de concertation et les études préalables de faisabilité, permettant aux consortia d’élaborer une proposition détaillée. Les projets complets en phase 1 auront une durée 24 mois. Pour la phase 1, le montant de l’aide demandée devra être d’un montant compris entre 1 M€ et de 4 M€. La phase 2 sera prise en charge par Bpifrance. La durée des projets en phase 2 sera de 12 mois, pour une durée complète du projet après sélection de 40 mois. Pour la phase 2, l’assiette de projet devra être comprise entre environ 2M€ et 10M€ (avec maximum 20% des coûts pour les organismes de recherche). Au cas où le pré-projet ou le projet complet serait rédigé en français, une traduction en anglais pourra être demandée par le jury dans un délai compatible avec le processus de sélection.
  • 6 juillet 2023
    Seconde édition de l’appel à projets transnational dans le cadre du Partenariat européen Driving Urban Transitions, dans le domaine de la ville du futurNotre avenir dépend de la capacité à relever dès maintenant de grands défis complexes, dont beaucoup doivent être abordés dans les villes et par les communautés urbaines. Les villes et les zones urbaines sont au cœur des transformations nécessaires pour que l'Union européenne (UE) atteigne les objectifs de l'accord vert européen (Green Deal) et respecte les engagements liés aux objectifs de développement durable (SDG) de l'Agenda 2030 des Nations unies (ONU), au nouvel agenda urbain d'ONU-Habitat, à l'agenda urbain de l'Union européenne, à l'accord de Paris sur le climat. Le partenariat Driving Urban Transitions (DUT) vise à aider à relever ces défis par des approches intégrées afin d'offrir aux décideurs des municipalités, des entreprises et, plus généralement, de la société, les moyens de mettre en œuvre et permettre les transformations urbaines nécessaires. Ce partenariat vise à développer, par le biais de projets de recherche et d'innovation, les compétences et les outils (y compris technologiques) permettant de concrétiser et de stimuler les transformations urbaines nécessaires et urgentes, et à mettre en pratique les connaissances et les données existantes et nouvelles. L’objectif principal du premier appel du Partenariat Driving Urban Transitions est de soutenir des projets de recherche et/ou d'innovation transnationaux portant sur les défis urbains afin d'aider les villes dans leur transition vers une économie et un fonctionnement plus durable. Thématiques de l’appel à projets : L’objectif principal du premier appel du Partenariat Driving Urban Transitions est de soutenir des projets de recherche et/ou d'innovation transnationaux portant sur les défis urbains afin d'aider les villes dans leur transition vers une économie et un fonctionnement plus durable. Les défis identifiés pour cet appel sont regroupés en trois thèmes appelés "Transition Pathways" :
    • Quartiers à énergie positive (PED) ;
    • La ville en 15 minutes (15mC) ;
    • Economies urbaines circulaires (CUE) ;
    Le défi sur les quartiers à énergie positive (PED) vise à développer et optimiser les systèmes d’énergie locaux grâce à l’efficacité énergétique, la flexibilité et la production d’énergie locale à partir d’énergies renouvelables et en s’appuyant sur des parties prenantes clés dont les administrations locales et les promoteurs. Le défi sur la ville du quart d’heure (15-minute City) vise à encourager les choix de mobilité durable, à redistribuer l’espace urbain et à réorganiser les activités pour rendre les villes plus neutres pour le climat et plus inclusives. Le défi sur les économies urbaines circulaires (CUE) vise à favoriser la conception de lieux urbains caractérisés par un urbanisme régénérateur, composé de quartiers vivables, inclusifs et verts et soutenus par des économies urbaines circulaires, minimisant les flux distants et optimisant l’utilisation des ressources. Pour plus d’information, nous vous invitons à consulter le site Driving Urban Transitions to a sustainable future - DUT Partnership. Les projets financés dans le cadre de cet appel à projets devront correspondre à des coopérations transnationales impliquant au moins trois entités juridiques indépendantes d’au moins trois pays différents participant. De plus, au moins deux candidats éligibles au sein d’un consortium doivent provenir d’États membres de l’Union Européenne ou de Pays associés à Horizon Europe. Chaque consortium doit inclure au moins une autorité gouvernementale urbaine, que ce soit en tant que coordinateur de projet (main applicant), partenaire financé (co-applicant) ou partenaire sur fonds propres (cooperation partner), en fonction des critères d’éligibilité nationaux. Au sein de chaque consortium sélectionné, le financement des bénéficiaires participants sera assuré par leurs organisations (agences ou ministères) de financement national respectives, selon leurs termes et leurs conditions de financement. En conséquence, les règles d’éligibilité nationales sont applicables en plus de celles spécifiques à l’appel. L’ANR financera uniquement des équipes françaises. En particulier les partenaires français demandant un financement à l’ANR sont invités à prendre connaissance du document « Modalités pour les participants français », accessible sur cette page. L’ANR couvre l’ensemble des trois thématiques (et des sous-thématiques). A noter que l’ADEME est la seconde agence française qui finance également des partenaires français dans le cadre de DUT (cf conditions spécifiques à l’ADEME sur leur site web).

  • 5 juillet 2023
    2ème appel à projets transnational 2023 du partenariat européen Clean Energy Transition - CETPContexte Clean Energy Transition Partnership (CETP) est une initiative transnationale de programmation conjointe de la recherche, du développement technologique et de l'innovation qui vise à stimuler et accélérer la transition énergétique, en s'appuyant sur les acteurs régionaux et nationaux de financement de la recherche et de l'innovation (agences nationales, régions...). Les objectifs et les thématiques de l’appel Le deuxième appel du CETP sera structuré autour de 12 modules thématiques d’appel (« call modules »), émanant eux-mêmes de 7 initiatives de transition (« Transition Initiatives »/TRI) qui synthétisent les grands défis à relever pour parvenir à la transition vers une énergie propre. L’ANR, l’ADEME et la Région Pays de Loire contribuent à un certain nombre de ces « call modules », comme indiqué dans le tableau ci-dessous. Les acteurs français et ligériens lauréats ne seront financés que sur les « call modules » où l’ANR, l’ADEME et la région Pays de la Loire se sont positionnées. Synthèse des "call modules" sur lesquels les agences françaises et la Région Pays de la Loire se positionnent Le texte de l’appel à projets, comprenant, parmi d’autres informations, la liste des pays et régions participant à l’appel à projets et leur positionnement vis-à-vis des différents modules de l’appel, est disponible sur le site de l’appel à projets CETP 2023. Chaque proposition de projet doit inclure au moins trois entités juridiques indépendantes (c'est-à-dire au moins un coordinateur et deux autres partenaires bénéficiaires) qui demandent et sont jugées éligibles au financement par les organismes de financement nationaux/régionaux compétents d'au moins trois pays différents participant à l'appel conjoint CETPartnership 2023. Parmi ces trois entités, au moins deux doivent être des États membres de l'UE ou des Pays associés à Horizon Europe. Les partenaires des projets sélectionnés seront financés directement par leurs agences nationales/régionales respectives. En conséquence, des règles d’éligibilité nationales/régionales s’appliquent en plus des règles conjointes spécifiques à l’appel. L’ANR financera uniquement des équipes françaises. En particulier les partenaires français demandant un financement à l’ANR devront prendre connaissance du document « Modalités de participation pour les partenaires sollicitant une aide de l’ANR », accessible sur cette page.
  • 22 juin 2023
    HERA 2023 Crisis – Perspectives from the HumanitiesEn lançant le programme HERA JRP CRISIS, les organismes de financement nationaux impliqués souhaitent créer des opportunités pour la recherche transnationale, collaborative et conduite par les sciences humaines, aboutissant à de nouveaux savoirs scientifiques pertinents dans le contexte des défis sociaux, culturels et politiques touchant l'Europe et le monde. L’objectif de cet appel à projets se décline en quatre points :
    1. Fournir, du point de vue des sciences humaines, de nouvelles connaissances et une nouvelle compréhension des origines, sources et causes des grandes crises philosophiques, culturelles, sociales, économiques, religieuses, politiques et environnementales touchant l'Europe et le monde, par le passé comme de nos jours. 
    2. Souligner le rôle complexe joué par les pratiques culturelles et sociales dans l’émergence de réponses aux crises, mais aussi, le cas échéant, dans l’apparition de ces dernières, par le passé comme de nos jours, aidant à comprendre si et dans quelles mesures les traditions culturelles envisagent la notion de crise comme un moment fondamental et déterminant pour la société et les communautés.   
    3. Explorer l’impact de la culture dans l’émergence d’une résilience face aux crises. La culture peut non seulement soutenir une réaction aux crises en cours, mais également préparer les sociétés aux menaces et aux opportunités inhérentes aux prochaines crises. 
    4. Mettre en lumière les moyens par lesquels les sciences humaines peuvent contribuer à l’escalade ou, de la même manière, à la désescalade et à la résolution de crises.
    Les pays participant à l’appel sont les suivants : Autriche, Belgique, Bulgarie, Croatie, Danemark, Espagne, Estonie, Finlande, France, Irlande, Lettonie, Lituanie, Norvège, Pologne, Portugal, République Tchèque, Roumanie, Royaume-Uni, Slovaquie, Slovénie, Suède, Suisse.


Fil info de l'ANR

  • 7 décembre 2023
    Pré-annonce : Accompagnement Spécifique des Travaux de Recherches d’intérêt Défense (ASTRID) – édition 2024ASTRID vise à soutenir des projets à caractère fortement exploratoire et innovant, pour une durée de 18 à 36 mois. Le montant maximum de l’aide allouée est limité à 400 k€. La nature des travaux de recherche est spécifiquement duale (retombées à la fois civiles et militaires). Un large éventail de thématiques scientifiques peut être soutenu parmi les disciplines suivantes :
    • Ingénierie de l’information
    • Robotique
    • Cybersécurité
    • Fluides et structures
    • Ondes acoustiques et radioélectriques
    • Nanotechnologies, capteurs et composants
    • Photonique
    • Matériaux
    • Matériaux énergétiques et énergie
    • Biologie, santé, NRBC
    • Hommes et systèmes
    • Sciences humaines et sociales appliquées
    • Génie maritime et géosciences
    • Intelligence artificielle
    Les suites de ces projets pourront être accompagnées par le programme ASTRID Maturation ou d’autres dispositifs de financement de l’AID tels que RAPID ou les contrats d’études amont.

  • 7 décembre 2023
    Appel à projets franco-allemand en sciences humaines et sociales - FRAL 2024Cet appel à projets est ouvert à toutes les disciplines des sciences humaines et sociales. Il est destiné à soutenir des projets proposés conjointement par des équipes françaises et allemandes. D’un point de vue thématique, les projets de recherche communs ne sont pas tenus de concerner des objets et/ou des terrains franco-allemands. L’ANR et la DFG financeront respectivement les dépenses relatives aux équipes françaises d’un côté, allemandes de l’autre.
  • 6 décembre 2023
    Pré-annonce : Appel à projets transnational - Identification et validation de cibles pour les approches en médecine personnalisée (PMTargets) - EP PerMed Le JTC2024 visera à financer la recherche pour favoriser l’identification ou la validation de cibles dans les approches de médecine personnalisée. Les candidats qui soumettent une proposition dans le cadre de cet appel doivent combiner la recherche sur des cibles nouvelles et avancées, avec la recherche des biomarqueurs associés (diagnostics complémentaires). Les consortia doivent être transnationaux, interdisciplinaires, trans-sectoriels et définir clairement les perspectives en médecine personnalisée dans la recherche proposée. Les objectifs généraux du JTC2024 sont les suivants :
    1. Soutenir les projets de recherche visant à identifier ou à valider des cibles pour les approches de médecine personnalisée en combinaison avec le développement de biomarqueurs compagnons ou d’autres marqueurs pour permettre le suivi des résultats du traitement et la stratification des patients ; 
    2. Encourager et favoriser les collaborations interdisciplinaires en combinant la recherche préclinique et clinique dans des projets translationnels avec une recherche multi-acteurs engageant un éventail d’autres disciplines pertinentes telles que la recherche en bio-informatique, Santé Publique, ELSA, recherche sur la mise en œuvre des approches en MP, recherche sur l’économie de la santé liée au sujet de recherche proposé, mais aussi l’analyse du point de vue de l’utilisateur final pour favoriser la mise en œuvre de la MP ; 
    3. Encourager les collaborations intersectorielles, en incluant le secteur privé (p. ex., les PME, les petites et moyennes entreprises), l’industrie, ainsi que les organismes de réglementation et des HTA (health technology assessment) et les organisations de patients.
    Les projets de recherche dans toutes les pathologies sont encouragés. Téléchargez la pré-annonce du partenariat

  • 5 décembre 2023
    Pré-annonce : Appel à propositions pour des projets de recherche multinationaux et translationnels sur les interactions bidirectionnelles entre le cerveau et le corps - ERA-NET NEURONLe maintien, l'amélioration et la restauration de la santé du cerveau humain sont d'une importance fondamentale et constituent une priorité mondiale. Il est de plus en plus évident que la communication bidirectionnelle entre le système nerveux central et le corps a des implications significatives pour le maintien des fonctions homéostatiques et cérébrales. Les anomalies de l'interaction cerveau-corps liées à des facteurs génétiques, environnementaux ou au mode de vie englobent un large éventail d'affections qui touchent des millions de personnes dans le monde. La dérégulation de l'axe cerveau-corps peut potentiellement contribuer à divers troubles neurologiques et psychiatriques ou les exacerber. La prévalence estimée peut varier de manière significative en fonction de facteurs tels que la situation géographique, la démographie et les progrès en matière de diagnostic médical. L'étude des interactions bidirectionnelles entre le système nerveux central et l'organisme est un domaine de recherche émergent qui offre la possibilité d'améliorer notre compréhension des processus physiopathologiques souvent négligés qui interviennent dans les troubles neurologiques et psychiatriques courants. L'élargissement de nos connaissances actuelles dans ce domaine est crucial car il constitue la première étape vers le développement d'approches thérapeutiques et préventives visant à préserver et à améliorer la santé du cerveau à l'échelle mondiale.
  • 28 novembre 2023
    Un colloque pour mieux comprendre les recherches pour et sur la biodiversitéComment les communautés scientifiques se sont-elles emparées du concept de biodiversité ? Quels sont les grands enjeux de demain ? Comment accompagner les transformations de la recherche ? L’ANR, la Fondation pour la recherche sur la biodiversité (FRB) et l’Alliance nationale de recherche pour l’environnement (AllEnvi) organisent le 6 décembre une journée d’échanges autour d'un bilan de 15 années de financement de la recherche en biodiversité et d'une réflexion prospective pour la recherche. Décryptage avec Anne Lieutaud, Responsable scientifique à l’ANR sur cette thématique.
  • 28 novembre 2023
    La recherche créatrice d’innovations : retour sur les 10 ans des LabComL’ANR a célébré le 23 novembre 2023 à la Maison de la Chimie les 10 ans du programme LabCom, qui soutient la création de Laboratoires Communs entre les acteurs de la recherche académique, les acteurs socio-économiques et les entreprises. Un événement en présence de Sylvie Retailleau, ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche, rythmé par de nombreux témoignages et retours d’expérience illustrant tout l’intérêt et l’efficacité de ce dispositif, qui évoluera en 2024 en s’ouvrant aux start-up.
  • 28 novembre 2023
    Lauréat de l’appel à projets ExcellencES de France 2030, Sciences Po Paris lance son « Institut des transformations environnementales »Ce 6 novembre 2023, Sciences Po Paris a lancé son Institut des transformations climatiques. Cet institut s’inscrit dans le cadre du projet TIERED, lauréat de la vague 2 de l’appel à projets « Excellence sous toutes ses formes » de France 2030, opéré par l’ANR. Focus sur une stratégie d’établissement axée sur le dialogue entre les disciplines.
  • 27 novembre 2023
    Science ouverte : vers une fédération mondiale pour l’accès ouvert diamantDu 23 au 27 octobre 2023 à Toluca, au Mexique, s’est tenu le tout premier sommet mondial sur le modèle de science ouverte dit "diamant", coorganisé par 10 institutions, dont l’Agence nationale de la recherche (ANR). Quelles en ont été les conclusions ? Retour sur une nouvelle étape majeure ouvrant le projet d’une fédération mondiale pour l’accès ouvert diamant.
  • 23 novembre 2023
    Appel à projets Access ERC Starting Grants - 2024L‘appel Access ERC 2024 est ouvert uniquement aux disciplines des sciences humaines et sociales. Le financement de l’ANR consiste en un contrat post-doctoral d’une durée de deux ans (24 mois), comprise entre le 1er juillet 2024 et le 31 août 2026, ayant pour objectif le dépôt d’une candidature à l’ERC Starting Grants. Afin de permettre aux futur(e)s candidat(e)s de postuler à l’ERC Starting Grants avec les meilleures chances de réussite, l'ANR a pris des dispositions autorisant une grande rapidité dans la sélection des propositions, la mise en place des financements et permettant un accompagnement. Cela se résume à :
    • Un bénéficiaire unique de l’aide (l’organisme de recherche et de diffusion des connaissances français qui accueillera et accompagnera le jeune chercheur ou la jeune chercheuse pendant ces deux ans et sera Host Institution du dépôt à l’ERC) ;
    • Une sélection réalisée par un comité d’évaluation scientifique pluridisciplinaire ;
    • Un retour rapide aux candidats (résultats notifiés environ 4 mois après la date de clôture de l’appel) ;
    • Une réunion de démarrage pour fournir aux lauréat.e.s des informations sur l’ERC Starting Grants, notamment de la part des points de contact nationaux, pour le montage de leur future proposition.
    Le jeune chercheur ou la jeune chercheuse devra donc s’engager dans le cadre de cet appel Access ERC 2024 à déposer au moins une candidature à l’ERC Starting Grants dans l’un des 7 panels SHS, en octobre 2025 (ERC 2026), et même dès octobre 2024 (ERC 2025), si sa situation le lui permet. Une prise de poste entre le 1er juillet et le 1er septembre 2024 permettra au candidat ou à la candidate de disposer de 8 à 10 mois de contrat financé par Access ERC après le dépôt à l’ERC, si ce dépôt a lieu en octobre 2025. Pour candidater, le jeune chercheur ou la jeune chercheuse doit remplir les conditions suivantes :
    • Être titulaire d’un doctorat dans une discipline du domaine des Sciences humaines et sociales (ou tout diplôme ou qualification correspondant au standard international du PhD éligible à l’ERC).
    • Être éligible à l’appel ERC Starting Grants pendant la durée du contrat post-doctoral Access ERC (2 ans), c’est-à-dire avoir 2 à 7 ans d’expérience après la soutenance de thèse au 1er janvier de l’année d’édition de l’appel ERC Starting Grants visé. Cela implique d’avoir soutenu sa thèse entre le 1er janvier 2018 et le 31 décembre 2022 (inclus) pour candidater à l’appel ERC 2025 et entre le 1er janvier 2019 et le 31 décembre 2023 (inclus) pour l’appel ERC 2026 ,
    • Avoir obtenu la garantie d’être accueilli.e dans un laboratoire de recherche français (EA, UMR, UMS, UMIFRE…), où il ou elle bénéficiera de conditions de travail adaptées et de l’encadrement d’un superviseur. Le choix du laboratoire d’accueil est important puisque le projet déposé à l’ANR doit démontrer son insertion dans les axes scientifiques de cette unité et son impact au-delà des 2 ans de contrat post-doctoral. Le directeur d’unité et le superviseur (qui rédigeront conjointement une lettre d’engagement) peuvent être la même personne ou deux personnes différentes, mais ni l’un ni l’autre ne peut être le directeur de thèse.
    • Avoir fait preuve de mobilité à l’étranger ou en France, pendant au moins un an, durant la thèse ou après la thèse. 
    • Avoir une bonne maîtrise de l’anglais, oral et écrit.
    L’aide maximum allouée par l’ANR à la candidature dans le cadre de cet appel Access ERC 2024 est de 185 k€ (frais d’environnement exclus) pour une durée de deux ans, comprise entre le 1er juillet 2024 et le 31 août 2026. Cette aide couvrira le salaire du jeune chercheur ou de la jeune chercheuse, ainsi que ses dépenses de fonctionnement (mobilités, publications, organisation de colloque, etc.).

  • 23 novembre 2023
    Le programme LabCom : 10 ans de recherche partenariale au service de l’innovation - Dossier de presseL’ANR célèbre le 23 novembre 2023 à la Maison de la Chimie la 10ème année de son dispositif LabCom, qui soutient la création de Laboratoires Communs entre les acteurs de la recherche académique, les acteurs socio-économiques et les entreprises. La création de partenariats durables, structurés autour d’un projet commun, favorisant le développement de connaissances et de savoir-faire, constitue un élément important pour favoriser et stimuler l’innovation.
  • 22 novembre 2023
    Programme et Equipements Prioritaires de Recherche (PEPR) "Futur de la collaboration Numérique - eNSEMBLE"La collaboration numérique fait désormais partie du tissu de nos vies professionnelles et privées, du courrier électronique à la vidéoconférence, du partage de documents aux réseaux sociaux. Si les outils de collaboration actuels semblent couvrir les besoins des utilisateurs, ils sont en réalité très limités en termes de capacité, d'ouverture et de niveau d'intégration. Contrairement au téléphone et au courrier électronique, où n’importe qui peut communiquer avec n’importe qui, quel que soit son choix de fournisseur et d’application client, la plupart de ces outils enferment leurs utilisateurs dans des « jardins privés clos » et des silos d’informations, créant de facto des monopoles et étouffant l’innovation. Il est donc d'une importance cruciale de fournir aux utilisateurs dans leur ensemble des outils robustes, faciles à utiliser, mais puissants et sûrs, pour collaborer efficacement à plusieurs niveaux d'échelle, de petits groupes aux grandes foules, d'activités co-localisées aux activités à distance, de courtes activités impromptues à des projets sur le long terme, de simples discussions à des échanges temps réel sur des objets complexes. L'objectif du Programme et Equipements Prioritaires de Recherche (PEPR) "Futur de la collaboration Numérique - eNSEMBLE" (http://pepr-ensemble.fr) est de concevoir des plateformes collaboratives en considérant à la fois les préoccupations d’ingénierie, de conception, d’organisation, d’éducation et de réglementation. Pour réaliser cet objectif, il est nécessaire de changer de paradigme en passant de l'informatique personnelle à l'informatique collaborative ; il faut considérer l'ensemble de la « collaborative stack » (au sens de B. Bratton), depuis l'infrastructure jusqu'aux utilisateurs et leurs relations sociales, de manière intégrative. Résoudre un sous-objectif à la fois sera beaucoup moins efficace, voire contre-productif. Le projet nécessite donc un investissement fort et à long terme dans des travaux multidisciplinaires mêlant informatique, psychologie cognitive, sociologie, design, droit, économie et sciences des organisations. Les principaux défis du programme proviennent des différents aspects des systèmes socio-techniques que le projet revisite et sont reflétés dans les cinq projets ciblés du PEPR. Défi 1 : Concevoir de nouveaux environnements collaboratifs et de nouveaux modèles conceptuels Passer de l'informatique personnelle à l'informatique collaborative nécessite d'inventer de nouvelles formes d'environnements numériques qui prennent en charge le partage, la communication et la coordination dans des environnements hétérogènes où différents utilisateurs peuvent disposer de différentes capacités d'interaction. Défi 2 : Permettre des expériences collaboratives fluides qui soutiennent l'interopérabilité L’approche actuelle des services numériques, basée sur des silos d’informations et des jardins clos, crée des obstacles inutiles pour des collaborations fluides. Les utilisateurs doivent pouvoir créer leurs propres environnements collaboratifs sécurisés qui évoluent au cours du temps. Cela nécessite que l’interopérabilité soit présente à tous les niveaux de la pile socio-technique. C’est également essentiel pour permettre l’accessibilité à divers collectifs d’utilisateurs. Défi 3 : Combiner l’action humaine et artificielle dans des configurations collaboratives La combinaison de l’intelligence humaine et artificielle nécessite la création de nouveaux partenariats humain-machine où le tout est plus que la somme des parties. L’IA centrée sur l'humain doit favoriser l'acquisition de compétences plutôt que la déqualification, ainsi que l’intelligibilité et le contrôle par les acteurs humains. Défi 4 : Soutenir la création de collectifs sains et durables À mesure que les collectifs grandissent, ils doivent être capables de créer de manière dynamique des structures organisationnelles adaptées à la situation tout en gérant la confiance et en soutenant les soins (par exemple, limiter les connexions excessives, décourager le harcèlement, etc.). Cela nécessite de nouvelles mesures et métriques qui aient du sens pour que les acteurs gèrent ces structures. Défi 5 : Spécifier les normes sociotechniques avec des cadres juridiques/réglementaires Pour que l’approche proposée fonctionne dans le monde réel, les progrès technologiques à eux seuls ne suffisent pas. L'interopérabilité nécessite des cadres réglementaires et éventuellement juridiques ainsi que des modèles commerciaux pour assurer des conditions de concurrence équitables tout en garantissant une croissance économique saine. Cet appel à manifestation d'intérêt (AMI) est mis en place dans le cadre du PEPR Futur de la collaboration numérique afin :
    • D’Identifier les acteurs susceptibles de répondre aux futurs appels à projets, qu'ils viennent de laboratoires publics ou privés connus pour déjà travailler sur la collaboration numérique ou qu'ils constituent des nouveaux entrants dans le domaine, avec la possibilité de se positionner sur des projets ponctuels mobilisant leurs orientations actuelles de recherche.
    • D’Identifier et préciser les thèmes sur lesquels les acteurs sont en mesure de faire des propositions de recherche à court terme et d'établir un premier état de l'art du domaine.
    Ces différents éléments permettront de préciser les thèmes des futurs appels à projets (AAP) qui feront suite, destinés à sélectionner des projets de recherche en vue de leur financement. A titre indicatif, le montant total d'aide alloué est de 5 M€ pour chacun des appels en 2024 et 2025. La durée des projets sera au maximum de quatre ans. Au stade de l’AMI, les proposants peuvent se limiter à une liste indicative des Etablissements partenaires. Les projets complets qui seront déposés aux futurs appels à projets devront être partenariaux, les bénéficiaires des aides des projets complets seront des établissements français d’enseignement supérieur et/ou de recherche ou des groupements de ces établissements.

  • 21 novembre 2023
    PEPR Agroécologie et Numérique - Appel à Projets - 2023Le programme Agroécologie et Numérique est structuré en quatre axes complémentaires :
    • Axe 1 : Façonner un socio-écosystème propice à une recherche et une innovation responsable ;
    • Axe 2 : Caractériser les ressources génétiques pour évaluer leur potentiel pour l'agroécologie ;
    • Axe 3 : Concevoir de nouvelles générations d'équipements agricoles ;
    • Axe 4 : Développer des outils et des méthodes numériques pour le traitement des données et la modélisation en agriculture, pour les agroéquipements et pour l’aide à la décision.
    Le programme Agroécologie et Numérique soutient financièrement des projets d’infrastructures et de recherche à l’interface entre le numérique et l'agroécologie, qui mettent en œuvre des approches pluridisciplinaires et systémiques reposant sur l’hybridation des compétences issues des communautés de l’agronomie, de l’écologie, des sciences du numérique et des sciences sociales. Les projets déposés dans le cadre de cet appel à projets doivent s’inscrire dans un ou plusieurs des quatre axes présentés ci-dessus. Les infrastructures et les équipements financés doivent être structurants et fournir des données et des méthodes pour les pratiques agroécologiques. Dix projets de recherche et trois projets d’infrastructure ont été soutenus au démarrage du programme et alimentent les quatre axes scientifiques. Les objectifs et attendus de ces projets déjà financés ainsi que toutes les informations sur le programme sont accessibles en ligne sur le site du programme : https://www.pepr-agroeconum.fr Le présent appel à projets est ouvert à toute la communauté scientifique concernée par l’agroécologie et le numérique. Il a pour objectif de sélectionner pour financement des projets originaux et à fort potentiel pour l’agroécologie, sur des sujets non encore soutenus par le programme. Doté d’un montant maximum de 22 millions d’euros, cet appel à projets financera des projets de recherche ou d’infrastructures pour une durée de 3 à 5 ans avec des montants compris entre 1 et 3 millions d’euros. Un webinaire de présentation est prévu le 11/12/2023 à 10h00 (heure de Paris). Inscription au webinaire   

  • 20 novembre 2023
    Pré-annonce : appel à projets transnationaux pour mieux prévenir la résistance aux antimicrobiens, et mieux y faire face - IMPACT - JPIAMR 2024Alors que la résistance aux antibiotiques serait responsable de la mort de 1.27 millions de personnes en 2019 (Murray et al., 2022) et que la résistance aux fongicides gagne du terrain, il est désormais urgent d’agir sans attendre. Sans actions de prévention efficaces, et sans nouveaux traitements ou protocoles de soin, les pertes en vies humaines pourraient atteindre 10 millions de personnes en 2050. L’objectif de cet appel est donc d’identifier quelles sont les interventions les plus efficaces pour prévenir l’émergence et la diffusion des gènes de résistance et traiter les infections résistantes aux traitements antimicrobiens. En particulier cet appel vise à
    • Evaluer/comparer/améliorer l’efficacité d’interventions préexistantes, leur rapport coût-efficacité et leur adoption par les utilisateurs (médecins, vétérinaires, patients, agriculteurs). Les interventions considérées doivent avoir pour but la prévention de la résistance aux antibactériens, et aux antifongiques, ou le traitement des infections bactériennes et fongiques résistantes aux traitements, ou à risque de développer une résistance. Les interventions peuvent concerner l’ensemble des secteurs One Health (santé publique, animale, végétale, et environnement) si un lien avec la santé humaine est présent. 
    • Développer de nouvelles interventions pour prévenir et contrôler l’émergence de la résistance aux antifongiques, et apporter de nouveaux traitements contre les infections fongiques résistantes aux traitements, ou à risque de développer une résistance. Les interventions peuvent concerner l’ensemble des secteurs One Health (santé publique, animale, végétale, et environnement) si un lien avec la santé humaine est présent.   
    Par le biais de cet appel à projets, l’ERA-NET JPIAMR-ACTION vise à soutenir des projets de recherche innovants sur la résistance aux antimicrobiens, rapprochant des partenaires ayant une origine géographique et des expertises différentes et complémentaires. Chaque consortium doit inclure un minimum de 3 participants éligibles au financement et appartenant à 3 pays différents participants à l’appel à projets (Allemagne, Australie, Belgique, Canada, Espagne, France, Hongrie, Irlande, Israël, Italie, Lettonie, Lituanie, Moldavie, Norvège, Pays-Bas, Pologne, Royaume-Uni, Suède, Suisse) dont au moins 2 pays européens ou associés. Le nombre maximum de partenaires autorisés dans un consortium (y compris les partenaires non financés) est de 6. Le consortium peut être élargi à 7 participants si au moins un des participants est un jeune chercheur, est issu d’une entreprise ou travaille dans un laboratoire situé en Hongrie, Lettonie, Lituanie, Moldavie ou en Pologne. La participation des utilisateurs finaux ou bénéficiaires, des parties prenantes et des entreprises est encouragée. La participation de partenaires non financés est possible mais limitée à 30% du budget total demandé et leur nombre doit être inférieur au nombre de partenaires demandant un financement. L'ANR financera exclusivement les partenaires français des projets sélectionnés, à hauteur de 250 000 euros maximum par partenaire (330 000 euros maximum si le partenaire est le coordinateur du projet), et le budget maximum par projet est de 450 000 euros. Le financement sera attribué pour une durée initiale de trois ans maximum. En respect avec les engagements de l’ANR, les participants s’engagent à déposer leurs publications au sein d’archives ouvertes, et à respecter le protocole de Nagoya concernant l’utilisation des ressources génétiques.

  • 16 novembre 2023
    Lancement de la Chaire industrielle REVIDA sur les infections respiratoires viralesLe 11 octobre 2023, la Chaire industrielle REVIDA pour les maladies infectieuses respiratoires, portée par la chercheuse Sophie Trouillet-Assant (UCBL/HCL), a officiellement été lancée par l’Université Claude Bernard Lyon 1, les Hospices Civils de Lyon et bioMérieux, avec le soutien de l’Agence nationale de la recherche. Elle doit permettre de renforcer la capacité des systèmes de santé à faire face à l’émergence de nouvelles maladies respiratoires.
  • 14 novembre 2023
    L’ANR accueille l’Assemblée Générale du partenariat européen Water4All – Water Security for the PlanetLes 14 et 15 novembre 2023 se tient à Paris l’Assemblée Générale du partenariat européen Water4All – Water Security for the Planet. Ce partenariat, coordonné par l’Agence nationale de la recherche (ANR) et co-financé par l’Union européenne, s’inscrit dans le cadre du programme de recherche et d'innovation d’Horizon Europe. Son objectif : contribuer, par une recherche et une innovation mutualisées au niveau international, à la sécurité de l’eau pour tous et sur le long terme.
  • 9 novembre 2023
    Sommet mondial sur l’accès ouvert diamant : la communauté internationale s’engage à faire progresser les initiatives dans ce domaine au niveau mondialLe Sommet mondial sur l’ accès ouvert diamant, qui s'est tenu à Toluca, au Mexique, et en ligne, du 23 au 27 octobre 2023, s'est conclu avec succès par un engagement commun de la communauté internationale pour promouvoir l’écosystème de l’accès ouvert diamant. Organisé par Redalyc, UAEMéx, AmeliCA, UNESCO, CLACSO, UÓR, ANR, cOAlition S, OPERAS, et Science Europe, le Sommet a réuni pour la première fois, l’ensemble des parties prenantes de l’écosystème international diamant, pour promouvoir la qualité, la durabilité, la facilité d'utilisation et l'équité de l'accès à la communication scientifique.
  • 9 novembre 2023
    Biologie – santé : webinaire sur les appels à projets transnationaux 2024, le 1 décembre 2023Le Point de Contact National (PCN) Santé organise, en collaboration avec l'ANR, un webinaire le 1 décembre 2023 à 10h dédié à la présentation des différents appels à projets transnationaux en Santé auxquels participera l'ANR. Ce webinaire, sur inscription, s’adresse principalement aux communautés scientifiques du domaine.
  • 2 novembre 2023
    JPcofuND 2 Groupes de travail « Technologie numérique appliquée à la recherche et la pratique clinique dans les maladies neurodégénératives »L’objectif de cet appel est de financer des groupes de réflexion visant à identifier les principales technologies, leur utilisation jusqu’à présent ainsi que leur impact potentiel pour les maladies neurodégénératives ; identifier les principales lacunes, difficultés et résultats issus de la recherche avec un potentiel pour améliorer l’utilisation des technologies numériques pour le diagnostic et le traitement des maladies neurodégénératives ; analyser les risques et les opportunités liées à l’utilisation de technologies numériques dans le contexte de ces maladies ; élaborer autour des aspects éthiques de ces technologies en particulier avec une perspective axée sur les patients et aidants formels et informels. Les groupes de travail doivent impliquer des membres issus des disciplines et approximations complémentaires i.e. cliniciens, ingénieurs, physiciens, informaticiens, mathématiciens et inclure des aspects juridiques, technologiques et/ou sociaux. Les propositions doivent considérer des aspects liés à l’invalidité, sexe, considérations éthiques ainsi que des aspects socioéconomiques et culturels. Les travaux seront financés pour une période maximale de 12 mois à hauteur de 50 000€ pour rembourser des frais liés à leurs activités (i.e. réunions ; frais de voyage). Les coordinateurs des consortia doivent travailler dans une institution éligible au financement de l’un des organismes de financement participant à l’appel.
  • 26 octobre 2023
    La mission InSight révèle une couche fondue à la base du manteau martienL’analyse par l’équipe de la mission InSight des données sismiques enregistrées sur Mars suite à un impact de météorite survenu en septembre 2021 bouleverse notre vision de la structure interne de la planète rouge et de son évolution. Une étude publiée le 26 octobre dans la revue Nature et impliquant des scientifiques français du CNRS, de l’IPGP, de l’ISAE-SUPAERO et d’Université Paris Cité, propose un nouveau modèle pour l’intérieur de Mars, avec un manteau non homogène composé d’une couche de silicates fondus surplombant le noyau martien, qui explique l’ensemble des observations géophysiques.
  • 24 octobre 2023
    Mieux soigner les maladies mentales grâce à la psychiatrie de précision - PEPR PROPSYLauréat de la deuxième vague de l’appel à programmes de recherche exploratoire de France 2030, PROPSY – Psychiatrie de précision, piloté par l'INSERM et le CNRS, est doté de 80 M€ sur 5 ans. En s’inspirant des outils et techniques propres à la médecine de précision, PROPSY souhaite insuffler de l’innovation - et de l’espoir - dans une discipline en pleine mutation. Entretien avec Marion Leboyer, psychiatre, PU-PH à l’Université Paris-Est Créteil, cheffe de l’équipe NeuroPsychiatrie Translationnelle de l’Institut Mondor de recherche biomédicale (Inserm U955), directrice générale de la fondation FondaMental et directrice du programme PROPSY.
  • 24 octobre 2023
    LabCom : 10 ans de recherche partenariale au service de l’innovationEncourager la création de partenariats durables et favoriser le développement de connaissances et de savoir-faire facteurs d’innovation : tels sont les objectifs du programme LabCom, lancé par l’ANR en 2013. À l’occasion de l’événement organisé pour les 10 ans du programme, le 23 novembre prochain à Paris, le point avec Eric Papon, responsable scientifique recherche partenariale à l’ANR, et chargé de Mission Filière Industrielles et Socio-Économiques à l’université de Bordeaux.
  • 24 octobre 2023
    Festival "Et maintenant ?" Le Prix de l’essai France Culture - ARTE 2023 est décerné à Chowra Makaremi pour Femme ! Vie ! Liberté !En lice parmi cinq finalistes, l’essai Femme ! Vie ! Liberté ! de Chowra Makaremi sur le soulèvement révolutionnaire en Iran remporte cette année le Prix de l’essai France Culture – Arte, soutenu par l’Agence nationale de la recherche (ANR), dans le cadre de Et maintenant ? le festival international des idées de demain.
  • 20 octobre 2023
    L’ANR partenaire du Festival international PariscienceL’Agence nationale de la recherche soutient, pour la première fois, la 19e édition du Festival Pariscience qui se déroule du 11 au 30 octobre au Muséum national d’Histoire naturelle, à Paris. Ce festival international du film scientifique a pour objectif de présenter une sélection des meilleurs documentaires scientifiques français et internationaux récents avec l'ambition d'interpeller, de débattre et de réfléchir à un futur souhaitable.
  • 18 octobre 2023
    Nanotechnologies et technologies avancées pour la prévention, le diagnostic et la thérapie des maladies (NANOTECMEC) – ERA4Health 2024L’objectif de cet appel est de permettre aux scientifiques de différents pays de construire une collaboration efficace sur des projets de recherche interdisciplinaires fondés sur la complémentarité et le partage d’expertise dans domaine de la nanomédecine avec une réelle approche de recherche translationnelle. Plus précisément les propositions devront porter sur des sujets de recherche sur l’une ou les deux thématiques suivantes : a) Médecine régénérative b) Diagnostic c) Nanothérapie La nanomédecine a le potentiel de permettre la détection précoce mais aussi la prévention des maladies, et d'améliorer le diagnostic, le traitement et le suivi des maladies. En outre, l'intégration des technologies clés génériques (KET) aux nanotechnologies offrira à la nanomédecine des possibilités encore plus grandes de favoriser l'innovation pour de nouvelles applications médicales. L'étude d'autres technologies clés génériques n'est possible que si elles sont utilisées en complément ou en combinaison avec les nanotechnologies. Seuls les projets transnationaux seront financés. Les conditions suivantes devront s’appliquer pour la composition des consortia :
    • Minimum de trois partenaires éligibles au financement et maximum de cinq partenaires éligibles et appartenant à au moins trois pays différents participant à l’appel.
    • Pas plus de deux partenaires éligibles issus du même pays au sein d’un même consortium.
    • Le consortium peut être élargi à 6 ou 7 partenaires s’il inclut un ou deux partenaires issus des pays suivants : Lettonie, Lituanie, Slovaquie, Turquie.
    • Maximum de deux collaborateurs par consortium. Les collaborateurs sont des partenaires sur fond propre : ce sont des partenaires qui ne demandent pas de financement auprès d’une organisation de financement dans le cadre de l’appel (partenaire issu d’un pays non financé ou ne pouvant être financé selon les règles nationales/régionales des organisations de financement participant à l’appel).
    L'ANR financera les partenaires français des projets sélectionnés. En respect avec les engagements de l’ANR, les participants s’engagent à déposer leurs publications au sein d’archives ouvertes, et à respecter le protocole de Nagoya concernant l’utilisation des ressources génétiques.

  • 17 octobre 2023
    3e édition du festival « Et maintenant ? » : l’ANR donne rendez-vous le samedi 21 octobre 2023 à la Gaîté Lyrique « Et maintenant ? », le festival international des idées de demain organisé par ARTE et France Culture avec le soutien de l’Agence nationale de la recherche, était de retour le 21 octobre 2023 à la Gaîté lyrique à Paris pour une journée d’échanges sur le temps, la démocratie et le vivant. Au programme : des rencontres, débats, ateliers participatifs, la remise du prix de l’essai...
  • 16 octobre 2023
    Recherches portant sur la modulation du vieillissement du cerveau par la nutrition et d’autres facteurs liés au mode de vie (NutriBrain) – ERA4Health 2024L’ANR s’associe au nouvel appel à projets transnationaux lancé dans le cadre du Partenariat ERA4Health, visant à promouvoir un espace européen pour la santé. Ce nouvel appel réuni 21 pays : Allemagne, Autriche, Belgique (incluant la Wallonie, Bruxelles et la Flandre), Danemark, Espagne (incluant la région d’Andalousie), Estonie, France, Irlande, Israël, Italie, Lettonie, Lituanie, Norvège, Pays-Bas Pologne, Portugal, Roumanie, Slovaquie, Suisse, Taïwan et Turquie. Cet appel sera doté d’un budget global d’environ 19 millions d’euros. L'objectif de l'appel est de soutenir des projets de recherche transnationaux axés sur l'amélioration du vieillissement cognitif du cerveau par la nutrition et d'autres facteurs liés au mode de vie. Il permet ainsi à des scientifiques de différents pays d'établir une collaboration précieuse sur des projets de recherche interdisciplinaires basés sur des complémentarités et le partage d'expertise dans le domaine du vieillissement cérébral, des troubles qui y sont liés, de la nutrition et des facteurs liés au mode de vie. Les propositions doivent permettre de mieux comprendre la modulation du vieillissement cérébral par des facteurs liés au mode de vie et/ou de tester des interventions basées sur des preuves existantes dans la littérature ou d'étendre des interventions pilotes existantes qui contribueront à réduire le risque de manifestations de déficience cognitive liées à un vieillissement cérébral pathologique. Au moins un des facteurs de mode de vie suivants devrait être étudié : la nutrition (en particulier l'amélioration des habitudes alimentaires), l'activité physique, les habitudes de sommeil, l'interaction sociale ou le stress. Seuls des projets transnationaux seront financés. Les conditions suivantes devront s’appliquent pour la composition des consortia :
    • Minimum de trois partenaires éligibles au financement et maximum de cinq partenaires éligibles et appartenant à au moins trois pays différents participant à l’appel.
    • Pas plus de deux partenaires éligibles issus du même pays au sein d’un même consortium.
    • Le consortium peut être élargi à 6 ou 7 partenaires s’il inclut un ou deux partenaires issus des pays suivants : Lituanie, Roumanie, Slovaquie.
    • Maximum de deux collaborateurs par consortium. Les collaborateurs sont des partenaires sur fond propre : ce sont des partenaires qui ne demandent pas de financement auprès d’une organisation de financement dans le cadre de l’appel (partenaire issu d’un pays non financé ou ne pouvant être financé selon les règles nationales/régionales des organisations de financement participant à l’appel).
    L'ANR financera les partenaires français des projets sélectionnés. En respect avec les engagements de l’ANR, les participants s’engagent à déposer leurs publications au sein d’archives ouvertes, et à respecter le protocole de Nagoya concernant l’utilisation des ressources génétiques.

  • 12 octobre 2023
    Santé mentale des étudiants : prévenir pour mieux guérirParticulièrement vulnérables aux problèmes de santé mentale, les étudiants ont vu leur état psychologique se dégrader durant la pandémie de la Covid-19. Sur le campus de l’Université de Nîmes, face à l’augmentation de la détresse psychologique, des troubles anxieux et dépressifs de leurs étudiants, des chercheurs ont suivi leur évolution psychologique et mis en place différents programmes pour les accompagner au quotidien. Des résultats à découvrir dans le cadre de la Journée mondiale de la santé mentale 2023.
  • 11 octobre 2023
    Du plaisir à l’addiction : le rôle-clé de la dopamine dans l’alcoolodépendanceEn France, près de 10 % des adultes souffrent d’alcoolodépendance. Des chercheurs de l’Institut des Neurosciences de Grenoble tentent de comprendre les mécanismes à l'œuvre dans ce besoin compulsif de boire. Dans une région du cerveau, chez le rat, ils ont notamment mis en cause le rôle pour cette addiction d’un déficit en dopamine - un neurotransmetteur impliqué dans la motivation via la récompense que cela procure. Corriger ce dysfonctionnement pourrait ainsi ouvrir de nouvelles pistes thérapeutiques. Des résultats à découvrir dans le cadre de la Journée mondiale de la santé mentale 2023.
  • 10 octobre 2023
    "La santé mentale est un droit humain fondamental"Troubles anxieux, dépression, schizophrénie ou addictions : la santé mentale et les maladies psychiques qui l'altèrent sont encore aujourd’hui entourées de nombreux stéréotypes, une double peine pour les personnes concernées, trop souvent stigmatisées. La recherche s’organise pour mieux comprendre les mécanismes neurobiologiques de ces pathologies, prévenir les troubles psychiques, établir des diagnostics précoces et développer de nouvelles thérapeutiques.
  • 4 octobre 2023
    Coopération scientifique franco-américaine : l’ANR et la NSF renforcent leur collaborationThierry Damerval, Président-directeur général de l’Agence nationale de la recherche (ANR) et Sethuraman Panchanathan, Directeur de la National Science Foundation (NSF) ont signé le 26 septembre 2023 un Memorandum of Understanding (ou protocole d’accord) pour poursuivre le co-financement de projets de recherche et l’échange de bonnes pratiques afin de faciliter le développement des coopérations scientifiques entre la France et les Etats-Unis. Deux nouvelles opportunités de financement sont proposées dans ce cadre.
  • 3 octobre 2023
    « Et maintenant ? » - le festival international des idées de demain 3ème édition - Communiqué de presse"Et maintenant ?" - le festival International des idées de demain porté par ARTE et France Culture avec le soutien de l’Agence nationale de la recherche (ANR) revient le samedi 21 octobre à la Gaîté lyrique à Paris pour sa 3ème édition. Des rencontres, café-débats, avant-premières, Battle de BD, ateliers participatifs, live, DJ set… Trois thématiques seront les fils conducteurs de cette journée : le Temps, la Démocratie et le Vivant. Un festival convivial, interactif et transgénérationnel.
  • 2 octobre 2023
    PEPR Exploratoire FairCarboN - Appel à projets 2023 "Le carbone dans les écosystèmes continentaux : leviers et trajectoires pour la neutralité carbone"Le présent appel à projets (AAP) FairCarboN a pour objectif de lever les verrous de connaissances sur les processus clés régissant le cycle du carbone et leurs réponses aux changements globaux, ainsi que sur les leviers écologiques, agronomiques et socio-économiques à actionner pour la mise en œuvre de la transition écologique et de la neutralité carbone. Il fait suite au premier AAP et permettra le financement de projets sur les thématiques non couvertes par les projets lauréats lors de la première vague, notamment sur les axes 3 (Développement de la production et de l'utilisation de la biomasse végétale) et 4 (Questions économiques et sociales : moteurs et impacts du changement). Le programme souhaite capitaliser sur le dynamisme de la communauté nationale répartie dans différentes institutions ainsi que sur les atouts des dispositifs de recherche sur les territoires métropolitain et ultra marin mais aussi à l’international, notamment dans les pays du Sud. La mobilisation de cette large communauté scientifique à travers ce programme ambitieux est la condition sine qua non pour déterminer précisément la contribution possible des écosystèmes continentaux à l’atténuation du changement climatique, sans laquelle l’objectif de l’accord de Paris n’est pas atteignable. Le dépôt des projets est attendu avant le 24 janvier 2024. Les projets seront évalués par un jury indépendant. Cette deuxième vague de l’AAP mobilisera un maximum de 6.1 M€ et le montant de l’aide demandée par projet doit se situer entre 0.80 et 1.25 M€. La durée des projets est de 4 à 5 ans. L’établissement coordinateur doit être un établissement français d’enseignement supérieur et de recherche ; un même responsable du projet ne pourra être porteur que d’un seul projet.
  • 30 août 2023
    PEPR Exploratoire LUMA - Appel à manifestation d’intérêt - 2023Le présent appel à manifestations d’intérêt (AMI) est destiné à sélectionner les quatre Moonshot Projects correspondants aux quatre axes de recherche thématique identifiés :
    • Axe 1 : Chiralité / Lumière, matière et réponses chirales
    • Axe 2 : Photochimie et matériaux / Photochimie et photostructuration de la matière
    • Axe 3 : Énergie et environnement / Conversion de l’énergie solaire et protection contre la photodégradation
    • Axe 4 : Santé / Lumière et cibles moléculaires pour les photothérapies de demain
    L’objectif de cet appel à manifestations d’intérêt est de recevoir des candidatures de consortiums, constitués de plusieurs équipes de recherche, susceptibles d’aborder et d’obtenir des avancées scientifiques dans le cadre des sujets décrits dans le texte de cet appel. Les réponses attendues ne doivent adresser qu’un seul des quatre axes thématiques. Dans le cadre d’un processus géré par l’ANR, quatre projets de consortiums (Moonshot Projects, un par axe) seront financés après décision de la Première ministre. Le montant de l'aide pour chaque projet sera de 2 M€ en moyenne. Un réajustement de l’enveloppe budgétaire pourra avoir lieu, en fonction de la couverture thématique proposée par chaque consortium. Chaque Moonshot Project pourra bénéficier du financement LUMA pendant une durée de 5 ans pour réaliser les travaux de recherche proposés, suite à une contractualisation avec l’ANR sous forme de Projet Ciblé. Attention : la date limite pour le dépôt de l'annexe financière (version du 24/11/23) et de la lettre d’engagement est le 21/12/2023 à 11h00. Seule la lettre d’engagement est à faire signer par l’établissement coordinateur du projet.

  • 28 juillet 2023
    Appel à projets Transnational Conjoint Water4All 2023 sur les "Services écosystémiques aquatiques"Cet appel à projets transnational est lancé dans le cadre du partenariat européen Water4All et soutient des projets de recherche et d'innovation qui portent sur les services écosystémiques aquatiques, incluant les eaux de surface intérieures, les eaux souterraines, ainsi que les eaux de transition. Conformément aux objectifs stratégiques de Water4All, les résultats des projets doivent contribuer à la mise en œuvre de politiques et stratégies de gestion de l'eau mondiales, européennes et nationales, dans le cadre du Green Deal, de la Directive Cadre sur l'Eau (DCE), de la Transition Juste et des Objectifs de Développement Durable des Nations Unies. Les propositions devront tenir compte des cadres législatifs et stratégiques appropriés aux niveaux national et international qui visent à atténuer les impacts du changement global sur les services écosystémiques aquatiques. Thématiques de recherche : Les propositions de recherche et d’innovation soumises dans le cadre de cet appel et ses différentes modalités doivent aborder au moins l’un des sujets suivants :
    1. Cartographie, suivi et évaluation pour une meilleure compréhension des services écosystémiques dans un contexte de changements, du changement local au changement global. 
    2. Mieux comprendre et prévoir les relations pressions multiples (y compris les pressions anthropiques) – impact – réponse dans les services écosystémiques à l’aide de méthodes et techniques avancées. 
    3. Des nouveaux outils et solutions pour une meilleure intégration des services écosystémiques dans la gestion des ressources en eau.
    Cet appel comprend en outre deux modalités supplémentaires :
    • Une modalité ciblant les chercheurs en début de carrière (ayant soutenu sa thèse depuis moins de 10 ans soit après le 1er janvier 2013), 
    • Une possibilité de manifestation d’intérêt pour la participation à des activités de Knowledge Hub, groupe visant à renforcer les échanges entre les projets et à contribuer à des actions de synthèse.
    Le budget prévu pour l'appel s'élève à environ 29 millions d'euros qui seront abondés par la Commission européenne. Les pays participant au financement de cet l’appel sont : Afrique du Sud, Autriche, Belgique, Brésil, Danemark, Espagne, Estonie, Finlande, France, Grèce, Hongrie, Irlande, Israël, Italie, Lettonie, Lituanie, Luxembourg, Malte, Norvège, Pays Bas, Pologne, Portugal, République de Moldavie, République Tchèque, Roumanie, Royaume Uni, Slovaquie, Suède, Suisse, Turquie.

  • 27 juillet 2023
    PEPR Systèmes Alimentaires, Microbiome et Santé – Appel à projets « SAMS »Le pilier "Microbiomes et santé" se concentre sur la compréhension des facteurs qui déclenchent la transition d'un microbiome sain vers un état de dysbiose, ce qui devient essentiel pour prendre des mesures préventives personnalisées et réduire le fardeau des maladies chroniques liées au microbiome d'une personne. Un changement de paradigme visant à transformer à la fois le diagnostic et le suivi, ainsi que la prévention, les traitements et les interventions thérapeutiques, devient crucial. Ce premier appel vise donc à accroître les connaissances sur les mécanismes de symbiose entre microbiomes et hôtes, les stades précoces d'apparition et de progression des maladies chroniques liées aux microbiomes et les moyens de les corriger afin d'améliorer la prise en charge des patients et d'optimiser les traitements, mais aussi d'assurer la prévention dans la population générale. Par conséquent, l'appel comprend la caractérisation des mécanismes et de biomarqueurs de la symbiose hôte-microbiote, l'identification d'éléments perturbateurs et la compréhension de la séquence d'événements microbiens, métaboliques et immunitaires et de leurs conséquences, qui sont à l'origine d'altérations de l'homéostasie et de la santé. Sont également attendus des projets visant à identifier des biomarqueurs de risque, de diagnostic, de pronostic et de prédiction de la réponse et de la toxicité des traitements, ainsi que le développement de nouvelles stratégies préventives et thérapeutiques qui identifient et corrigent les "défauts" des interrelations microbiome-hôte. Le pilier "Consommation et systèmes alimentaires durables" repose sur la reconnaissance de la nécessité de modifier le comportement des consommateurs pour résoudre les problèmes de santé publique et d'environnement. Cependant, de tels changements sont difficiles à réaliser pour de nombreux consommateurs, en particulier ceux qui disposent de peu de ressources matérielles et éducatives. Un défi important consiste donc à identifier et à analyser dans quelle mesure les interventions publiques, privées et communautaires peuvent encourager et soutenir ces changements. Il s'agit également de déterminer comment les changements de comportement des consommateurs peuvent contribuer à modifier l'offre alimentaire - en ce qui concerne les qualités nutritionnelles et environnementales des produits alimentaires, ainsi que des changements structurels plus profonds tels que ceux induits par la relocalisation des systèmes alimentaires. Dans cette perspective, le présent appel à projets vise à soutenir des projets de recherche originaux et structurants qui se concentrent sur les déterminants des changements de comportement des consommateurs et sur les conditions dans lesquelles ces changements pourraient mieux contribuer à la prévention des risques pour la santé au niveau individuel et de la population et favoriser une évolution vers des systèmes alimentaires plus durables, en particulier au niveau local. À l'interface des deux piliers, des projets portant par exemple sur l'évaluation des changements de comportement alimentaire et de leurs effets sur la santé humaine, par le biais de questions liées au microbiome, sont dans le périmètre de cet appel à projets. Les projets devront s'appuyer sur des consortiums de recherche pluridisciplinaires. Ils pourront viser des avancées dans les connaissances fondamentales, ainsi que des résultats plus appliqués, liés à la thérapeutique, aux solutions de prévention des risques sanitaires et aux politiques publiques. Le présent appel à projets comporte deux phases :
    • 1ère phase : une première phase non sélective et non obligatoire de dépôt d’une lettre d’intention. Cette première phase, non sélective et non obligatoire pour pouvoir répondre à la seconde phase de dépôt des projets détaillés, a pour objectif d’identifier si nécessaire des manques et des besoins de compétences complémentaires dont le projet pourrait bénéficier. Si le consortium juge ne pas couvrir l’ensemble des expertises nécessaires à son ambition, il peut le signaler lors de cette phase et demander à être accompagné pour la recherche des équipes apportant les expertises manquantes. La période d’animation autour de l’appel à projets et en amont du dépôt de projet complet a pour but de faire émerger des consortia ambitieux. Les directeurs et le comité de programme du PEPR SAMS organiseront alors des ateliers d’échanges rassemblant les consortia ayant manifesté́ leur intérêt afin de favoriser le dialogue entre les chercheur-se-s pour leur permettre de faire émerger des projets structurés et interdisciplinaires répondant aux enjeux et objectifs du PEPR SAMS.

    • 2ème phase : la deuxième étape consistera à déposer les projets détaillés, en vue de leur évaluation par un comité d’évaluation international mandaté par l’ANR

    Cet appel à projets vise à soutenir des projets d’envergure, d’une durée de 3 à 5 ans, avec des financements allant de 1 à 2,5 M€ pour le pilier « Microbiomes et Santé », de 800 k€ à 1 M€ pour le pilier « Consommation et Alimentation Durable » et de 1 à 2,5 M€ pour des projets d’interface entre les deux piliers (texte de l'appel mis à jour le 22.11.2023).

  • 26 juillet 2023
    PEPR Solutions pour la ville durable et le bâtiment innovant– Appel à projets « Ville Durable et bâtiment innovant »La mise en œuvre des villes durables et des bâtiments innovants intervient dans un long processus en cours, celui de l’urbanisation généralisée : processus dont il convient de modifier la trajectoire dans le cadre d’une transition nécessaire pour pallier des changements environnementaux globaux. Cette urbanisation généralisée complexifie les situations territoriales dans la mesure où elle efface les frontières de la ville. De fait, les oppositions traditionnelles entre ville et campagne tendent à disparaître et sont remplacées par des disparités de conditions d’existence entre les territoires urbanisés (en termes de santé, d’accès à l’information et à l’emploi, à la culture et aux loisirs, de mobilité et de ressources de tout ordre). Dans ce contexte les définitions relatives à « ville », « urbain », urbain généralisé », « mégapole », etc. font débat. Par facilité de langage, il sera question indistinctement de ville / d’urbain / de territoires urbanisés / d’urbanisation généralisée (incluant bien évidemment les territoires péri-urbains), non pas pour signifier une position scientifique ou technique, mais pour définir des problèmes à différentes échelles : locale, régionale, nationale, internationale, globale. Enfin, les questions urbaines ne peuvent pas être séparées des questions relatives aux bâtiments, aux constructions comme à l’ensemble des infrastructures. Aussi, dès lors que la question urbaine est posée, elle devrait intéresser à la fois l’ensemble (aménagement urbain, agglomération, territoire urbanisé, ville, etc.) et les parties (notamment les bâtiments). En ce sens, les séparations traditionnelles entre architecture, urbanisme ou aménagement, génie civil et construction doivent être mises en synergie dans une seule problématique autour de la durabilité, de la soutenabilité et de la résilience face aux changements globaux. Ce premier appel à projets est ouvert à l’ensemble des chercheurs issus d’organismes de recherche et d’établissements de recherche et d’enseignement supérieur français souhaitant proposer des contributions pour répondre aux objectifs du PEPR VDBI. Des porteurs d’enjeux (ex. : collectivités, ONG, acteurs socio-économiques...) et autres partenaires français et internationaux peuvent être associés aux consortiums et sont fortement attendus. Les parties prenantes (collectivités locales, entreprises…) ou des laboratoires étrangers potentiellement partenaires ne pourront pas disposer de financement direct par l’ANR. Toutefois, certains financements complémentaires peuvent être envisagés dans le cadre d’accord avec des équipes européennes ou internationales. Les liens avec d’autres programmes nationaux européens ou internationaux peuvent aussi être mentionnés afin de démontrer ces synergies. Le présent appel à projets vise à :
    • Relever des défis ; au nombre de 5 grandes catégories, ils sont décrits comme autant de difficultés de mise en œuvre de villes durables et bâtiments innovants qu’il faut surmonter, une sixième catégorie de défis, les défis émergents, consiste à identifier de nouvelles difficultés jusqu’ici peu identifiées. Enfin, ces défis sont interdépendants et en traiter un implique de traiter les autres, même si l’un ou plusieurs d’entre eux constituent une entrée privilégiée dans la recherche ;

    • Proposer de nouvelles questions scientifiques originales pour répondre aux objectifs, défis et aux enjeux de VDBI ;

    • Contribuer à la production de connaissances pour alimenter les défis en s’appuyant sur les centres opérationnels présents dans le programme ;

    • Faire émerger et créer de nouveaux consortiums pour lever les verrous, que rencontrent les acteurs du territoire et proposer des solutions co-construites avec les acteurs territoriaux de territoires plus durables ;

    • Contribuer à la formation d’une communauté organisée autour d’un champ scientifique et technique focalisé sur les villes et bâtiments durables et leur mise en œuvre.

    Deux appels à projet sont prévus dans le cadre du PEPR VDBI. Le présent appel mobilisera au maximum 18 M€ et le second appel devrait mobiliser, deux ans après le premier appel, le reste du budget attribué à ce PEPR (soit autour de 9 M€). Les projets retenus feront l’objet d’un suivi en continu par les porteurs scientifiques du PEPR VDBI et devront présenter leurs avancées chaque année lors des conférences nationales VDBI. Ils devront par ailleurs s’articuler et nourrir les trois centres opérationnels lancés dans le cadre du PEPR VDBI, au service des travaux de la communauté scientifique nationale. Le présent appel à projets comporte deux phases :
    • 1ère phase : une première phase non sélective et non obligatoire de dépôt d’une lettre d’intention. Cette première phase, non sélective et non obligatoire pour pouvoir répondre à la seconde phase de dépôt des projets détaillés, a pour objectif d’identifier les sujets et les équipes et consortiums potentiellement intéressés. Les lettres d’intention ne feront pas l’objet d’une évaluation, mais permettront à la communauté scientifique de formuler ses propositions de recherche et d’identifier d’éventuels manques de compétences au sein de chaque consortium. Les déposants de lettres d’intention seront invités à participer aux journées scientifiques du PEPR organisées les 16 et 17 octobre à Lyon, destinées à affiner les consortiums pertinents et aider à préparer des projets en bonne adéquation avec les attentes et objectifs du programme.

    • 2ème phase : la deuxième étape consistera à soumettre les projets détaillés, en vue de leur évaluation par un comité d’évaluation international mandaté par l’ANR.

    Le montant de l’aide par projet attendu devrait se situer entre 1 M€ à 3 M€, pour une durée de 4 à 6 ans, laissant ainsi la possibilité de proposer des consortiums nationaux impliquant plusieurs disciplines académiques et plusieurs laboratoires, en lien avec des parties prenantes de la VDBI. La capacité à mobiliser différentes disciplines et à les associer de manière pertinente et efficiente sera particulièrement appréciée.

  • 10 juillet 2023
    Défi "Transfert robotique" - Appel à projets - 2023Pour concevoir et mettre en œuvre une solution robotique, parmi les briques technologiques potentiellement disponibles, quelles sont les mieux adaptées aux contraintes opérationnelles ? La stratégie robotique et machines intelligentes s’inscrivant en transverse des filières, il n’y aura pas d’appréciation discriminante en fonction des thématiques sectorielles, ou des technologies développées : tout type de projet a vocation à être retenu s’il vérifie les critères d’éligibilité et répond aux objectifs de l’appel à projets. Ainsi sont éligibles par exemple les drones (air, terre, mer), imprimantes 3D, machines à commande numérique, les équipements robotiques, les robots industriels, cobots, robots de service professionnel, robots de service personnel et les robots médicaux (classification International Federation of Robotics, IFR). Il n’y a aucune appréciation discriminante quant aux formes et types de robots et machines intelligentes ainsi que leurs marchés applicatifs – infrastructures, industrie manufacturière, logistique, énergie, automobile, électronique, mobilité, naval, construction & démolition, bâtiment, inspection, surveillance, secours, sécurité, santé, hospitalité & loisirs, nettoyage, agriculture et sylviculture, éducation et formation, … sans que cette liste ne soit exhaustive. Pour chaque filière ciblée, le défi portera sur le transfert de briques de technologies clés les plus génériques possibles et proposera des solutions répondant aux problématiques à forts enjeux pour la souveraineté. En accompagnant les projets depuis leurs fondements de Recherche jusqu’à une mise en œuvre opérationnelle, le défi permet de réduire la prise de risques potentiellement liés à l'intégration en 1ere exploitation et/ou de solutions en rupture. La dynamique du défi permettra d'apporter un retour d'expérience et une montée en compétences pour les académiques, les équipementiers, les intégrateurs et les entreprises utilisatrices. Le défi se fixe aussi comme objectif de participer à l’animation et au maillage des communautés public/privé. La mise en œuvre opérationnelle de cet appel à projets sera prise en charge par l’ANR, pour la sélection des pré-projets et la sélection des projets en phase 1. L’établissement chef de file pour la phase 1 doit être un organisme de recherche. L’établissement chef de file pour la phase 2 doit être un acteur privé ou un acteur public opérationnel. Les préprojets sélectionnés auront 4 mois pour déposer un projet complet. Une subvention comprise entre 50K€ et 100K€ pourra être demandée afin de supporter les coûts de concertation et les études préalables de faisabilité, permettant aux consortia d’élaborer une proposition détaillée. Les projets complets en phase 1 auront une durée 24 mois. Pour la phase 1, le montant de l’aide demandée devra être d’un montant compris entre 1 M€ et de 4 M€. La phase 2 sera prise en charge par Bpifrance. La durée des projets en phase 2 sera de 12 mois, pour une durée complète du projet après sélection de 40 mois. Pour la phase 2, l’assiette de projet devra être comprise entre environ 2M€ et 10M€ (avec maximum 20% des coûts pour les organismes de recherche). Au cas où le pré-projet ou le projet complet serait rédigé en français, une traduction en anglais pourra être demandée par le jury dans un délai compatible avec le processus de sélection.
  • 6 juillet 2023
    Seconde édition de l’appel à projets transnational dans le cadre du Partenariat européen Driving Urban Transitions, dans le domaine de la ville du futurNotre avenir dépend de la capacité à relever dès maintenant de grands défis complexes, dont beaucoup doivent être abordés dans les villes et par les communautés urbaines. Les villes et les zones urbaines sont au cœur des transformations nécessaires pour que l'Union européenne (UE) atteigne les objectifs de l'accord vert européen (Green Deal) et respecte les engagements liés aux objectifs de développement durable (SDG) de l'Agenda 2030 des Nations unies (ONU), au nouvel agenda urbain d'ONU-Habitat, à l'agenda urbain de l'Union européenne, à l'accord de Paris sur le climat. Le partenariat Driving Urban Transitions (DUT) vise à aider à relever ces défis par des approches intégrées afin d'offrir aux décideurs des municipalités, des entreprises et, plus généralement, de la société, les moyens de mettre en œuvre et permettre les transformations urbaines nécessaires. Ce partenariat vise à développer, par le biais de projets de recherche et d'innovation, les compétences et les outils (y compris technologiques) permettant de concrétiser et de stimuler les transformations urbaines nécessaires et urgentes, et à mettre en pratique les connaissances et les données existantes et nouvelles. L’objectif principal du premier appel du Partenariat Driving Urban Transitions est de soutenir des projets de recherche et/ou d'innovation transnationaux portant sur les défis urbains afin d'aider les villes dans leur transition vers une économie et un fonctionnement plus durable. Thématiques de l’appel à projets : L’objectif principal du premier appel du Partenariat Driving Urban Transitions est de soutenir des projets de recherche et/ou d'innovation transnationaux portant sur les défis urbains afin d'aider les villes dans leur transition vers une économie et un fonctionnement plus durable. Les défis identifiés pour cet appel sont regroupés en trois thèmes appelés "Transition Pathways" :
    • Quartiers à énergie positive (PED) ;
    • La ville en 15 minutes (15mC) ;
    • Economies urbaines circulaires (CUE) ;
    Le défi sur les quartiers à énergie positive (PED) vise à développer et optimiser les systèmes d’énergie locaux grâce à l’efficacité énergétique, la flexibilité et la production d’énergie locale à partir d’énergies renouvelables et en s’appuyant sur des parties prenantes clés dont les administrations locales et les promoteurs. Le défi sur la ville du quart d’heure (15-minute City) vise à encourager les choix de mobilité durable, à redistribuer l’espace urbain et à réorganiser les activités pour rendre les villes plus neutres pour le climat et plus inclusives. Le défi sur les économies urbaines circulaires (CUE) vise à favoriser la conception de lieux urbains caractérisés par un urbanisme régénérateur, composé de quartiers vivables, inclusifs et verts et soutenus par des économies urbaines circulaires, minimisant les flux distants et optimisant l’utilisation des ressources. Pour plus d’information, nous vous invitons à consulter le site Driving Urban Transitions to a sustainable future - DUT Partnership. Les projets financés dans le cadre de cet appel à projets devront correspondre à des coopérations transnationales impliquant au moins trois entités juridiques indépendantes d’au moins trois pays différents participant. De plus, au moins deux candidats éligibles au sein d’un consortium doivent provenir d’États membres de l’Union Européenne ou de Pays associés à Horizon Europe. Chaque consortium doit inclure au moins une autorité gouvernementale urbaine, que ce soit en tant que coordinateur de projet (main applicant), partenaire financé (co-applicant) ou partenaire sur fonds propres (cooperation partner), en fonction des critères d’éligibilité nationaux. Au sein de chaque consortium sélectionné, le financement des bénéficiaires participants sera assuré par leurs organisations (agences ou ministères) de financement national respectives, selon leurs termes et leurs conditions de financement. En conséquence, les règles d’éligibilité nationales sont applicables en plus de celles spécifiques à l’appel. L’ANR financera uniquement des équipes françaises. En particulier les partenaires français demandant un financement à l’ANR sont invités à prendre connaissance du document « Modalités pour les participants français », accessible sur cette page. L’ANR couvre l’ensemble des trois thématiques (et des sous-thématiques). A noter que l’ADEME est la seconde agence française qui finance également des partenaires français dans le cadre de DUT (cf conditions spécifiques à l’ADEME sur leur site web).

  • 5 juillet 2023
    2ème appel à projets transnational 2023 du partenariat européen Clean Energy Transition - CETPContexte Clean Energy Transition Partnership (CETP) est une initiative transnationale de programmation conjointe de la recherche, du développement technologique et de l'innovation qui vise à stimuler et accélérer la transition énergétique, en s'appuyant sur les acteurs régionaux et nationaux de financement de la recherche et de l'innovation (agences nationales, régions...). Les objectifs et les thématiques de l’appel Le deuxième appel du CETP sera structuré autour de 12 modules thématiques d’appel (« call modules »), émanant eux-mêmes de 7 initiatives de transition (« Transition Initiatives »/TRI) qui synthétisent les grands défis à relever pour parvenir à la transition vers une énergie propre. L’ANR, l’ADEME et la Région Pays de Loire contribuent à un certain nombre de ces « call modules », comme indiqué dans le tableau ci-dessous. Les acteurs français et ligériens lauréats ne seront financés que sur les « call modules » où l’ANR, l’ADEME et la région Pays de la Loire se sont positionnées. Synthèse des "call modules" sur lesquels les agences françaises et la Région Pays de la Loire se positionnent Le texte de l’appel à projets, comprenant, parmi d’autres informations, la liste des pays et régions participant à l’appel à projets et leur positionnement vis-à-vis des différents modules de l’appel, est disponible sur le site de l’appel à projets CETP 2023. Chaque proposition de projet doit inclure au moins trois entités juridiques indépendantes (c'est-à-dire au moins un coordinateur et deux autres partenaires bénéficiaires) qui demandent et sont jugées éligibles au financement par les organismes de financement nationaux/régionaux compétents d'au moins trois pays différents participant à l'appel conjoint CETPartnership 2023. Parmi ces trois entités, au moins deux doivent être des États membres de l'UE ou des Pays associés à Horizon Europe. Les partenaires des projets sélectionnés seront financés directement par leurs agences nationales/régionales respectives. En conséquence, des règles d’éligibilité nationales/régionales s’appliquent en plus des règles conjointes spécifiques à l’appel. L’ANR financera uniquement des équipes françaises. En particulier les partenaires français demandant un financement à l’ANR devront prendre connaissance du document « Modalités de participation pour les partenaires sollicitant une aide de l’ANR », accessible sur cette page.
  • 22 juin 2023
    HERA 2023 Crisis – Perspectives from the HumanitiesEn lançant le programme HERA JRP CRISIS, les organismes de financement nationaux impliqués souhaitent créer des opportunités pour la recherche transnationale, collaborative et conduite par les sciences humaines, aboutissant à de nouveaux savoirs scientifiques pertinents dans le contexte des défis sociaux, culturels et politiques touchant l'Europe et le monde. L’objectif de cet appel à projets se décline en quatre points :
    1. Fournir, du point de vue des sciences humaines, de nouvelles connaissances et une nouvelle compréhension des origines, sources et causes des grandes crises philosophiques, culturelles, sociales, économiques, religieuses, politiques et environnementales touchant l'Europe et le monde, par le passé comme de nos jours. 
    2. Souligner le rôle complexe joué par les pratiques culturelles et sociales dans l’émergence de réponses aux crises, mais aussi, le cas échéant, dans l’apparition de ces dernières, par le passé comme de nos jours, aidant à comprendre si et dans quelles mesures les traditions culturelles envisagent la notion de crise comme un moment fondamental et déterminant pour la société et les communautés.   
    3. Explorer l’impact de la culture dans l’émergence d’une résilience face aux crises. La culture peut non seulement soutenir une réaction aux crises en cours, mais également préparer les sociétés aux menaces et aux opportunités inhérentes aux prochaines crises. 
    4. Mettre en lumière les moyens par lesquels les sciences humaines peuvent contribuer à l’escalade ou, de la même manière, à la désescalade et à la résolution de crises.
    Les pays participant à l’appel sont les suivants : Autriche, Belgique, Bulgarie, Croatie, Danemark, Espagne, Estonie, Finlande, France, Irlande, Lettonie, Lituanie, Norvège, Pologne, Portugal, République Tchèque, Roumanie, Royaume-Uni, Slovaquie, Slovénie, Suède, Suisse.



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